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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
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    Formule 1

    09/05/2006 06:49



    Nürburg, team par team
     

    Europe 

    Nürburg, team par team

    Le comportement des pilotes et des voitures passé au crible pour tirer les enseignements de la 5ème manche du Mondial 2006.

    Ferrari - Schumacher P1, Massa P3

    Seule l'application minutieuse du plan rouge visant à contrer Renault pouvait mener à la victoire. Sans souffrir la moindre déperdition, il a mené au triomphe. Vendredi, par exemple, Schumacher et Massa ont économisé chacun un train de pneus en se partageant le test des deux types fournis par Bridgestone. Des munitions pour la suite…

    Même si la pole position fût abandonnée au champion du monde 2005, les 248F1 N.5 et N.6 étaient en embuscade, aux 2e et 3e rangs… Avec Honda pour seule paire rivale la plus compétitive aux places 4 et 6 sur la grille, la Scuderia était prête pour la plus grosse collecte et à une redite d'Imola.

    En course, Schumacher a inversé les rôles par rapport à Bahreïn, en passant Alonso au 2e pit stop ; libéré de tout suspense en revanche, car ses trois tours supplémentaires (38, 39, 40) après l'arrêt de l'Espagnol lui ont permis de signer des chronos de très haute volée pour se ménager une demie-ligne droite d'avance.

    Premier podium pour Massa en Formule 1. Encore meilleur qu'à Imola, le Brésilien, pas impressionné par le pressing final de Räikkönen, est revenu fort sur Alonso.

    Renault - Alonso P2, Fisichella P6

    Une semaine plus tôt, il avait neigé sur Nürburg. A l'heure des choix, Michelin avait apporté des mélanges dont la fenêtre de fonctionnement optimale était un peu basse. Les températures plus élevées que prévu dimanche (20°C sur la piste, 37°C dans l'air), a consommé la superbe des clients de Clermont-Ferrand, Renault au premier chef.

    Pour la 10e fois en pole position, la première fois de l'année, Alonso a cravaché sans débarrasser ses rétros de la Ferrari de Schumacher en course. L'Espagnol devait se ménager une marge de 1.6 sec avant sa seconde rentrée au stand, sur la base que Schumi devait le suivre à la pompe au tour d'après. Il n'en avait que 1.2 sec et, par dessus tout, le septuple champion du monde se déchaina deux tours de plus que prévu ! L'attaque du champion 2005 et les 10 chevaux procurés par le V8 RS26 spec 2 n'ont donc pas suffi.

    Fisichella encore très très moyen : pour la deuxième fois de suite, le N.2 n'a pas passé le cut lors de la 2e partie de qualification. La frustration a précédé la colère noire à l'encontre de Villeneuve, qui le gêna dans son tour rapide. L'horizon dominical bouché par la BMW, il s'est vengé en passant le Québécois dans la voie des stands.

    McLaren - Räikkönen P5, Montoya Ab

    La MP4-21 semble plus taillée pour la course que pour la qualification. En tous les cas, les stratèges gris ont tendance à charger la mule et sacrifier le samedi. Räikkönen 5e à 1.0 sec d'Alonso, Montoya 8e à 2.0 sec en qualif, les réservoirs étaient bien gavés. Trop, comme à Imola. Le Finlandais s'est fait surprendre par Button au départ mais a vite repris le dessus pour pointer 4e, derrière Massa, qu'il n'est jamais parvenu à passer.

    KR a été le 2e pilote le plus rapide en course, de quoi gargariser Ron Dennis. Un piètre cache-misère. Bien qu'impressionnante en fins de relais, la monoplace N.3 était complètement larguée en débuts de runs. Le Finlandais a mis de côté la langue de bois chère à Woking en estimant que la MP4-21 "n'est pas née comme la meilleure monoplace du plateau, contrairement à la MP4-20". Vendredi l'a aussi montré : la MP4-21 est difficile à équilibrer.

    Course sans relief de Montoya. Il était 9e lorsque son moteur l'a stoppé.

    Honda - Barrichello P5, Button Ab

    Pour une fois, Barrichello a moins pesté contre sa machine que Button, perturbé par le grip pauvre d'un circuit parsemé d'ondulations. Ça s'est vu en qualification, avec la meilleure représentation Honda obtenue par le Brésilien (4e), face à l'Anglais (6e), pour presque 0.2 sec. Mais l'ex-pilote Ferrari avait 5 tours d'essence de moins… Manquant d'agressivité comme à Imola, "Rubinho" a perdu des places au départ (7e), pour livrer une course sans génie, jusqu'à la 5e position.

    Button arrêté avant la mi-course : moteur.

    Williams - Rosberg P7, Webber Ab

    Mark Webber a de nouveau gagné sa place dans le top 10 en qualification, alors que Nico Rosberg a été l'un des recalés du deuxième groupe. 9e et 12e, en théorie… car le motoriste avait changé les V8 après les libres 3. Cosworth n'est finalement qu'un nom prestigieux dans les livres d'histoire de la F1. Des décennies d'expérience et 176 victoires ne signifient absolument rien en 2006…

    De 19e sur la grille, Webber a bondi au 12e rang en profitant de la cohue du premier tournant. Mais l'histoire s'est vite arrêtée, transmission et hydraulique hors d'usage (12e tour).

    En sommeil depuis la Malaisie, le talent de Rosberg s'est rappelé au bon souvenir du paddock : 22e et dernier sur la grille, l'Allemand a pris les 2 points de la 7e place. Il lui a manqué quelques tours pour croquer Fisichella.

    BMW - Villeneuve P8, Heidfeld P10

    Jacques Villeneuve dans le mauvais rôle, c'est suffisamment rare pour être signalé. Les commissaires du grand prix ont estimé qu'il aurait du se ranger devant Giancarlo Fisichella, légitimant la colère du N.2 de Renault à l'issue de la 2e partie de qualification. Ses trois meilleurs temps annulés dans la dernière période, JV a reculé de la 8e à la 9e place sur l'aire de départ. Il a mis un soin tout particulier à tenir en respect le Romain pendant le grand prix. Mais BMW n'avait pas de parade au second ravitaillement éclair de la Renault. Un point, c'est toujours ça.

    L'équation menant à l'équilibre de la F1.06 est restée un mystère pour Heidfeld, dont l'étoile a un peu plus pâli. 15e samedi, 10e dimanche.

    Toyota - Trulli P9, Schumacher Ab

    Les symptômes classiques d'une mauvaise voiture : pas d'ahérence et un équilibre introuvable.

    Jarno Trulli a rassuré son monde en disant "avoir attaqué au maximum." C'est au moins ça ! Ralf Schumacher a été à l'origine du double abandon au virage 1 en expédiant Tonio Liuzzi dans les roues de David Coulthard. Passé cette gaffe, l'Allemand a pris son mal en patience avec beaucoup d'essence, jusqu'à la 6e place. Mauvaise pioche au second ravitaillement : Barrichello est resté devant. Le moteur a cassé vers la fin de la course.

    Toro Rosso - Speed P11, Liuzzi Ab

    Touché par Ralf Schumacher, Tonio Liuzzi a fini sa course dans le premier virage, dans la Red Bull de Coulthard. Une crevaison l'a définitivement arrêté en plein milieu de la piste, invitant la safety car en piste.

    Une fois de plus, Speed a fini son samedi après la 1ère partie de la qualification, alors que Liuzzi a continué. L'Etasunien était plus en forme qu'à Imola, et a regretté que de meilleurs pit stops ne l'ai pas propulsé devant la BMW de Heidfeld, qu'il a suivie d'une seconde sur la ligne d'arrivée.

    Midland - Monteiro P12, Albers P13

    Le nouveau système de qualification ne pardonne rien, encore moins lorsqu'il introduit une notion d'injustice. Après avoir ruiné son premier tour rapide dans le virage 6, Tiago Monteiro pensait en avoir deux autres quand le drapeau rouge a stoppé toute le monde, sans motif, à 3 min 28 sec de la fin de la 1ère partie. Christijan Albers était persuadé de pouvoir atteindre le top 16 car les Bridgestone étaient selon lui à Nürburg encore meilleurs dans leur deuxième tour rapide. Il n'a jamais eu loisir de la pratique

    En course, le Portugais s'est régalé aux commandes d'une monoplaces au comportement égal. 12e. Le Néerlandais a trouvé un Sato récalcitrant sur son chemin. Le temps de le doubler, Monteiro avait disparu...

    Red Bull - Klien Ab, Coulthard Ab

    Un nouveau désastre. Coulthard nous avait avoué avant le début du week-end qu'Adrian Newey et son staff ne voyaient aucune solution à court terme capable de transformer la RB02 en voiture gratte-points.

    Une médiocre qualification (Coulthard 14e, Klein 17e) et des ennuis en course : Coulthard était sur la trajectoire de la Toro Rosso en perdition de Liuzzi, et Klien n'a pu continuer, à cause de la transmission.

    L'an dernier, Red Bull avait fait illusion en capitalisant sur sa fiabilité et les défaillance à répétition des McLaren et Ferrari en début de saison. La situation a bien changé...

    Super Aguri - Sato Ab, Montagny Ab

    Ide menacé d'un retrait de licence par la FIA, Aguri Suzuki a promu Franck Montagny de N.3 à N.2 et a procédé de façon honnête en lestant de 10 kg la machine amaigrie de Sato pour crédibiliser la comparaison entre le Français et le Japonais le vendredi.

    Le débutant tricolore a séduit le staff et les partenaires, Bridgestone en particulier, quoique pas désintéressé par les informations d'un ancien client Michelin... N'empêche, FKM a fait plus que jeu égal le samedi, si l'on tient compte des quelques 0.4 à 0.5 sec au tour dont Sato avait l'avantage. Dommage qu'un drapeau rouge soit passé par-là en qualification.

    Le casque dépassant allègrement un cockpit taillé pour le petit gabari de Bernoldi en 2002, loin d'être confortablement installé, Montagny a extrait de cette douteuse A23 des chronos plus que corrects pendant une vingtaine de tours. Avant les premiers signes de faiblessesl. Hydraulique également en cause pour Sato, sans les flammes.





     

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