| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://sportsactus.vip-blog.com


SPORTS - ACTUS
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
  • 14 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Accueil ] [ Football ] [ Sports motorisés ] [ Hockey sur glace ] [ Cyclisme ] [ Tennis ] [ Autres ] [ Photos ]

     

    Coupe du monde 2006

    20/06/2006 07:29



    Le Mexique rate sa chance

    Le Mexique rate sa chance

    Plus d'infos

    Les Mexicains ont souffert face à l'Angola et n'ont pas réussi à concrétiser leurs occasions de fin de partie (0-0). Les deux équipes se séparent sur un nul qui ne permet pas aux Aztèques de se rapprocher des 8èmes de finale. L'Angola peut espérer: ce point le laisse en course pour la qualification.

    MEXIQUE-ANGOLA: 0-0

    En quelque sorte, c'est une première dans ce Mondial allemand. Une équipe, condamnée à ne pas perdre pour survivre dans la compétition, qui parvient à le faire. Certes, les Angolais ne se sont pas vraiment rapprochés des 8èmes de finale, faute de victoire. Mais contrairement aux Polonais, aux Costaricains, ou aux Ivoiriens, les Palancas Negras ont préservé une lueur d'espoir de continuer leur parcours grâce à ce point obtenu avec les tripes. Pour le Mexique, la qualification demeure à portée. Elle sera cependant plus difficile à acquérir: les Aztèques devront en effet prendre au moins un point face au Portugal lors du troisième match.

    Première période: Le Mexique touche du bois

    D'entrée de partie, le Mexique se met dans le bon sens et veut inscrire au plus vite un but. Les filets tremblent déjà sur une frappe puissante de Salcido... qui passe derrière les cages après avoir flirté avec la lucarne (2e). Crispés, les Angolais ne parviennent pas à réagir et doivent se contenter de défendre dans leurs trente derniers mètres. Pris par la vivacité mexicaine, ils commettent de nombreuses fautes. Sur l'un des coups francs obtenus, Marquez enroule bien le ballon pour tromper la vigilance de Pereira mais son montant gauche le suppléé (14e).

    La partie bascule progressivement à l'avantage de l'Angola, bien décidé à ne pas quitter la compétition de cette manière. Mendoca, plein de culot, tente sa chance directement sur un coup franc pourtant lointain et excentré: le missile finit de peu au-dessus (26e). L'ailier des Palancas Negras se met de nouveau en évidence en plaçant une tête qui n'attrape pas le cadre de Sanchez (32e). La domination africaine se poursuit de manière stérile durant les dernières minutes. Et à force de s'épuiser pour rien, les Angolais ne sont pas loin de céder juste avant le repos. Franco s'impose physiquement dans les seize mètres mais bute sur Pereira (45e).

    Seconde période: Des cages imprenables

    Dans la lignée de la fin du premier acte, le Mexique pousse dès le retour des vestiaires. Une nouvelle fois, les Palancas Negras sont contraints à défendre, avec plus de brio cette fois. Les Aztèques ne parviennent en effet plus à se créer de réelles opportunités de but. Au bout de dix minutes, c'est d'ailleurs Mendoca qui vient chauffer les gants de Sanchez d'un tir flottant (55e). Dans la foulée, son homologue angolais a lui aussi du travail: Pereira repousse la tentative de Franco puis est sauvé par Jamba sur le tir de Bravo, qui a suivi (56e).

    Les deux formations se libèrent alors et ouvrent des espaces. La partie se débride sans toutefois laisser naitre des étincelles. Bravo, double buteur face à l'Iran (3-1), se montre moins lucide et n'ajuste pas Pereira (66e). Cette occasion place cependant la formation aztèque sur une bonne dynamique. Les joueurs de Ricardo La Volpe prennent l'ascendant et vont peu à peu étouffer l'Angola. La tâche semble plus facile lorsqu'Andre commet une main et prend son second avertissement (79e). Ce n'est pas le cas, malgré les coups de pied arrêtés qui se multiplient. Pereira, parfois un peu fébrile, réussit quand même à tenir la baraque dans le dernier quart d'heure.

    Le portier angolais, titulaire en sélection alors qu'il est sans club, soulage sa défense aux moments cruciaux. Bien placé sur la volée non-cadrée de Fonseca (82e), Pereira réalise une merveille de claquette sur un boulet de canon venu des pieds de Marquez. Et comme la réussite accompagne souvent les gardiens en forme, son montant gauche l'aide une nouvelle fois lorsque Bravo jaillit sur le corner qui s'en suit (88e). Les trois minutes additionnelles ne suffiront pas. Le Mexique doit se contenter d'un point, qui satisfait l'Angola. Au moins jusqu'à mercredi prochain.

     

    L'HOMME DU MATCH: Joao Ricardo Pereira (Angola)

    Le paradoxe de la sélection africaine. Sans club mais titulaire dans les buts des Palancas Negras, Pereira a prouvé qu'il avait sa place en répondant présent sur les tentatives mexicaines. Sauvé à deux reprises par ses montants, il a tout de même été génial sur une frappe lourde de Marquez et a paré les quatre autres tirs cadrés du Mexique. Auteur de quatorze sorties, il a notamment mis Franco en échec.

    LA DECLA: Luis Goncalves De Oliveira (entraîneur de l'Angola)
    "Nous avons fait un excellent match. La première mi-temps était équilibrée. En seconde période, l'équipe a fait de son mieux. Pour notre première Coupe du monde, nous prenons un point dès notre deuxième match, c'est donc le meilleur résultat de l'histoire du football angolais. Maintenant, nous voulons gagner le troisième match contre l'Iran, même si ce sera encore plus difficile que les deux premiers."


    Du grand art 

    Du grand art

    Plus d'infos

    Merveilleuse Argentine. Portée par un jeu collectif de première main et une attaque de feu, l'équipe de Jose Pekerman a démantelé la Serbie-Monténégro jeudi à Gelsenkirchen (6-0). Aucune équipe n'avait autant impressionné depuis le début de ce Mondial 2006. L'Albiceleste a tutoyé les étoiles.

    ARGENTINE - SERBIE MONTENEGRO: 6-0

    Buts: Rodriguez (6e, 40e), Cambiasso (31e), Crespo (78e), Tevez (83e) et Messi (88e)

    S'il restait des sceptiques, cette nouvelle démonstration les aura définitivement convaincus. Avec la manière. Car, après sa belle victoire face à la Côte d'Ivoire (2-1), l'Argentine était attendue au tournant. Après tout, en 2002, elle avait également remporté son premier match face à une formation africaine (le Nigéria, 1-0) avant de sortir dès le premier tour. Mais l'éclosion de la génération dorée est promise à un avenir beaucoup plus radieux. D'une efficacité implacable (six buts pour neuf tirs cadrés), les Argentins ont affiché un visage de rêve face à des Serbes déconfits. Les troupes de José Pekerman ne semblent pas avoir de point faible mais un point fort : un côté gauche de rêve d'où sont venus cinq des six buts.

    Première période : Comme dans un rêve

    Dès l'entame de match, le rouleau-compresseur argentin se met en action. Il ne faut ainsi que quelques minutes à Javier Saviola, homme du match face aux Ivoiriens, pour prendre la défense de vitesse côté gauche et offrir un premier ballon de but à Maxi Rodriguez (5e, 1-0). Abasourdis, les Serbes ne devaient jamais sans remettre et laissaient l'Albiceleste développer son jeu. Même la blessure précoce de Luis Gonzalez (16e), qui remplacer Cambiasso au coup d'envoi pour réquilibrer le côté droit, ne suffit pas à enrayer la belle mécanique. Au contraire, Esteban Cambiasso est à la conclusion d'une superbe action collective en une touche de balle, sans doute la plus belle de ce Mondial. Toujours en passant par ce fameux côté gauche, Saviola trouvait le milieu de l'Inter qui s'appuyait sur Crespo avant de fusiller le gardien pour le plaisir du public de Gelsenkirchen (31e, 2-0). Au total, l'action aura duré plus d'une minute et pratiquement tous les Argentins auront touché le ballon.

    Dominateurs, les Argentins ajoutaient même un troisième but avant la pause. Toujours dans les bons coups, Saviola confirme qu'il est revenu au sommet de sa forme. Parti cette fois côté droit, l'ancien Monégasque trouve Maxi Rodriguez au second poteau qui s'offre un doublé avec l'aide de Jevric (31e, 3-0). L'addition aurait même pu être plus sévère si Hernan Crespo, parti dans le dos de la défense pour aller tromper le portier serbe de près, ne s'était pas vu refuser un but pour une position de hors-jeu plus que douteuse au ralenti (36e). Mais le match est déjà plié après seulement 45 minutes.

    Seconde période : Messi et Tevez, jokers de luxe

    Malgré ses efforts, la Serbie a du mal à supporter la comparaison. Il faut ainsi attendre la seconde période pour assister à la première frappe cadrée des Serbes signée Savo Milosevic (46e), finalement aligné d'entrée malgré ses critiques à l'égard des choix de Petkovic. Mais le côté gauche de l'Argentine, où les actions dangereuses sont souvent initiées de derrière par Juan Pablo Sorin, continue de les mettre au supplice. Servi par Riquelme, Saviola cadre un nouveau tir mais trouve Jevric sur sa trajectoire (52e). Humiliés, les joueurs de l'ex-Yougoslavie finissent par craquer et Mateja Kezman se fait expulser pour un tacle les deux pieds décollés du sol (65e). Ça devient alors mission impossible pour les Serbes, d'autant que l'Albiceleste n'a pas encore mis tous ses atouts sur la pelouse.

    Car, si l'Argentine possède des joyaux à tous les postes (Crespo et Saviola en attaque, Riquelme au milieu ou Ayala en défense), elle possède un banc à faire palir d'envie plus d'une équipe. Les entrées de Carlos Tevez (58e) et Lionel Messi (74e), longtemps contrarié par les blessures avant de débuter son Mondial, n'arrangent pas les affaires des Serbes. Les deux hommes donnent tout de suite le tournis aux défenseurs serbes. A peine entré en jeu, Messi déborde ainsi côté gauche et adresse un caviar à Crespo au second poteau (77e, 4-0). Tevez lui emboîte le pas. L'attaquant des Corinthians réussit un petit pont et efface deux défenseurs avant d'enchaîner une superbe frappe enveloppée (83e, 5-0). Le match tourne définitivement à la correction avec un dernier but du gaucher Messi (89e, 6-0). Six bijoux de jeu collectif qui sonnent comme autant de messages aux prochains adversaires de l'Argentine. Cette équipe là possède toutes les armes pour aller très loin.

    L'HOMME DU MATCH : Javier Saviola (Argentine)

    On a retrouvé le Javier Saviola de River Plate. Si l'Argentine possède plusieurs joueurs de classe mondiale capables de faire la différence à gauche (Sorin, Maxi Rodriguez, Messi, Tevez ou même Riquelme), l'attaquant du FC Séville s'est mis le plus en évidence. En seulement une demi-heure de jeu, il a crucifié les Serbes pratiquement à lui tout seul. Auteur de deux passes décisives pour Maxi Rodriguez, l'ancien Monégasque est également impliqué sur le deuxième but argentin. Son bilan : 29 ballons joués, 19 passes, 2 ballons perdus mais seulement 1 tir.

    LA DECLA : Juan Riquelme (Argentine)

    "Je pense que nous gardons un niveau plutôt élevé. Il ne faut pas comparer avec la précédente Coupe du monde: l'Argentine était sortie de manière imméritée. J'espère que l'équipe pourra continuer a s'améliorer. Nous sommes très satisfaits de notre match. Tous les joueurs ont eu du plaisir. Nous sommes ravis d'avoir gagné un match aussi important. Comme je le répète à chaque fois, quand je rentre sur le terrain je suis content. Je me sens bien, je ne suis pas blessé, et je vais marquer plus de buts si j'en ai l'occasion".

     


    Les Pays-Bas au métier 

    Les Pays-Bas au métier

    Plus d'infos

    Vainqueurs d'une belle équipe de Côte d'Ivoire (2-1), les Néerlandais sont en huitièmes de finale grâce à leur réalisme et deux buts marqués en quatre minutes lors de la première période. Les Eléphants, qui ont tiré pratiquement deux fois plus au but, sont eux éliminés sans avoir à rougir.

    PAYS-BAS - CÔTE D'IVOIRE : 2-1
    Buts : van Persie (23e), van Nistelrooy (27e) pour les Pays-Bas - B. Koné (38e) pour la Côte d'Ivoire

    Après avoir vu l'Argentine étriller la Serbie-Monténégro (6-0) un peu plus tôt dans la journée, les Néerlandais n'avaient qu'un désir en pénétrant sur la pelouse du Gottlieb-Daimler Stadion : décrocher leur ticket pour les huitièmes de finale avant de retrouver la sélection albiceleste la semaine prochaine. Mission accomplie pour les jeunes Bataves qui ont vaincu la Côte d'Ivoire (2-1) grâce à un réalisme à toute épreuve. Pour leur première Coupe du monde, les Eléphants n'ont pour autant pas à rougir. Un seul regret, être tombé dans ce groupe.

    Première période : Le réalisme néerlandais

    Convaincants mais battus par l'Argentine samedi dernier, les Ivoiriens ont beaucoup de mal à entrer dans la partie. Sûrs de leur force technique, les joueurs de Marco van Basten gênent leurs adversaires africains en les privant de ballon. Mais ce n'est que l'affaire de dix minutes puisque les hommes d'Henri Michel trouvent enfin le fil du match. Et se créent deux demi-occasions sur des frappes de Romaric (15e) et d'Arouna Koné (17e). Mais le réalisme orange ne va pas tarder à parler.

    Sur les deux premières frappes des champions d'Europe 1988, les filets de Jean-Jacques Tizié vont trembler. Robin van Persie ouvre le score d'un maître coup franc (1-0, 23e). Le Gunner est imité quatre minutes plus tard par Ruud van Nistelrooy. Sur un petit ballon de Robben, le Mancunien profite du mauvais alignement de Baky Koné et bat Tizié d'une frappe pure (2-0, 27e). Comme face à l'Argentine, les Ivoiriens ont un genou à terre. Mais comme face aux doubles champions du monde sud-américains, les coéquipiers de Didier Drogba n'abdiquent pas.

    Généreux dans l'effort, les Eléphants continuent et Didier Zokora touche du bois sur une frappe de vingt-cinq mètres. Son tir trouve l'équerre du but d'Edwin van der Sar (33e). Chanceux sur le coup, le portier "oranje" ne peut rien faire sur le suivant. Parti de la gauche, Baky Koné traverse le terrain en diagonale et, de l'extérieur des 16,50m, envoie une frappe croisée qui trouve la lucarne opposée (2-1, 38e). Un but "Owenesque" qui redonne des ailes aux Ivoiriens. Dommage qu'une faute stupide de Drogba sur van der Sar coûte à l'ancien Marseillais un carton jaune qui le privera de la rencontre face à la Serbie-Monténégro (40e).

    Seconde période : Trop courts, les Ivoiriens

    Passant un peu trop dans l'axe en première période, le jeu ivoirien s'excentre quelque peu sur la droite au retour des vestiaires. Mais si les Ivoiriens cadrent leurs tentatives (8 sur 14), la réussite n'est pas au rendez-vous. Et les Néerlandais durcissent le jeu. Henri Michel tente alors le pari de faire entrer Yapi Yapo et Dindane à la place de Baky Koné et de Romaric (62e) pour mettre un coup de pied dans la fourmilière. Un choix qui tarde à payer puisque mis à part des frappes lointaines, les Eléphants ne jouent plus juste et n'inquiètent plus van der Sar.

    Comme son alter ego, Jean-Jacques Tizié n'a guère à s'employer. Mis à part une frappe de Robben difficilement captée (70e), le gardien suit de son but la timide poussée des siens. Il voit également Didier Drogba placer une tête sur un corner d'Akalé. Une tête repoussée par la poitrine de van Persie (77e). Les Ivoiriens poussent, Henri Michel s'époumone. Mais les Pays-Bas tiennent. Arjen Robben se crée même une dernière occasion (85e). Une occasion qui ne change rien. Les Pays-Bas tiennent leur billet pour les huitièmes de finale. Ils tenteront désormais de grappiller le trône du groupe face à l'Argentine.

    L'HOMME DU MATCH : Didier Zokora (Côte d'Ivoire)

    Didier Zokora porte bien son surnom de "Maestro". Malgré la défaite des siens, le milieu de terrain de la Côte d'Ivoire a réussi sa prestation. Présente de la première à la dernière minute, la plaque tournante des Eléphants n'a perdu que deux petits ballons et, surtout, été à deux doigts de marquer sur une frappe monumentale qui est allée mourir sur l'équerre du but néerlandais. Même si les Eléphants sont éliminés, Didier Zokora et les siens se seront montrés au niveau.

    LA DECLA : Marco van Basten (Pays-Bas)

    "Nous avons très bien démarré le match, nous nous sommes créé beaucoup d'occasions, avons marqué deux buts mais après nous avons eu un peu de mal. Tout le monde a pu voir à quel point ils étaient bons. Les dernières 45 minutes ont été difficiles, nous avons trop reculé. Nous sommes très contents de les avoir battus, parce que c'était une grosse équipe. Ruud (van Nistelrooy) a fait bonne impression, je suis content pour lui, c'est bon pour la confiance d'avoir marqué. Au premier quart d'heure de jeu, on était submergé, dominé. On a essayé de jouer en retrait, mais c'était difficile. La défense a fait un très bon travail. C'est difficile quand vous jouez contre Drogba, Koné... Ils n'ont pris qu'un but. Après la demi-heure de jeu, on est tombé dans une petite auto-satisfaction, et on a peut-être perdu un peu le fil. Mais c'est très positif car on a pu voir comment l'équipe peut s'en sortir quand elle est repoussée comme ça. Nous avons été forts de ne pas prendre de deuxième but."





     

    Début | Page précédente | 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact sportsactus ]

    © VIP Blog - Signaler un abus