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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
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    Coupe du monde 2006

    20/06/2006 07:42



    La Croatie s'en veut

    La Croatie s'en veut

    Plus d'infos

    Battue par le Brésil lors du premier match, la Croatie a été tenue en échec par le Japon (0-0). Un penalty raté par Srna et de nombreuses occasions auraient pu tout changer. La qualification pourrait se jouer lors du dernier match face à l'Australie. Avec ce nul, le Japon reste lui aussi en course.

    JAPON - CROATIE : 0-0

    Les Croates risquent de s'en mordre les doigts. Au moment de se coucher, ce soir, nul doute que des flashes de leurs occasions ratées vont défiler. Après une courte défaite face au Brésil concédée sur un exploit individuel, les joueurs au damier se devaient de ne pas perdre afin de ne pas quitter l'Allemagne dès le premier tour, comme ils l'ont fait au Portugal lors de l'Euro 2004. Mais ils devaient surtout l'emporter pour s'offrir une vraie chance de disputer les 8emes de finale. En fonction du résultat de l'Australie face au Brésil, dans la soirée, les Croates auront l'occasion de disputer un match décisif face aux "Socceros". Dans lequel il leur faudra impérativement marquer... pour la première fois de la compétition.

    Première période: les Croates n'y arrivent pas

    L'entame de rencontre tourne à l'avantage des Japonais. Concentrées et appliquées dès le coup de sifflet, les troupes de Zico s'octroient la maitrise du ballon et du jeu. Les Nippons manquent cependant de lucidité dans les derniers gestes pour inquiéter Pletikosa, qui n'a aucun arrêt à effectuer durant toute la première demi-heure. En effet, les Japonais ne cadrent que deux de leurs cinq tirs, les moins dangereux. Nakata ne parvient pas à cadrer sa volée, dont la course finit derrière le but (15e), et décoche ensuite un missile qui flirte avec la transversale (35e). Santos s'essaie lui aussi de longue distance, sans succès (36e). Ces quelques frappes et la possession de balle, constamment en faveur du Japon, paraissent bien maigres. Surtout en comparaison des offensives croates.

    Les joueurs au damier mettent encore en exergue leurs qualités techniques et leurs vertus collectives. Mais le réalisme, et parfois la chance, font défaut. Kranjcar ouvre le bal en chauffant de loin les gants de Kawaguchi (5e). Il faut alors patienter un peu pour voir la suite. Qui va donner des sueurs froides aux supporters nippons présents à Nuremberg. Prso, intenable durant la rencontre, se fait faucher dans les seize mètres. L'arbitre siffle donc un penalty, qui vaut un carton jaune et une suspension pour le match face au Brésil au capitaine, Miyamoto (21e). Mais permet à Kawaguchi de revêtir l'habit du héros: le portier japonais choisit le bon côté pour sortir la frappe de Srna et préserver le score de parité.

    Un scénario qui n'affecte pas les Croates. Les troupes de Zlatko Kranjcar continuent de pousser et veulent vite effacer cet échec. Sans se douter que la chance va leur tourner le dos. Kranjcar décoche une merveille de frappe... qui ne trouve que la transversale (29e). Le joueur convoité par Lyon sert ensuite Klasnic pour un tir trop croisé (31e). Une nouvelle fois, le sort va s'amuser avec les nerfs croates: passe en retrait de Koji vers son gardien, surpris par un faux-rebond, qui laisse filer le cuir, mais du mauvais côté du poteau (34e). Avant le repos, Klasnic par deux fois et Prso de la tête inquiètent encore Kawaguchi (40e, 43e, 45e+1). Mais lorsque le cadre ne se dérobe pas, le gardien japonais répond présent.

    Seconde période: La lucidité fait défaut

    Dès le retour des vestiaires, les joueurs de l'Est connaissent une énorme frayeur. Yanagisawa, pourtant seul face au but à l'issue d'un fluide mouvement à trois, place le cuir en sortie de but (51e)! Kranjcar lui répond sur un centre de Prso: en extension, le meneur croate expédie la balle au ras du montant (54e). Le joueur d'Hadjuk Split se jette encore au second poteau suite à un corner dévié par N.Kovac, mais là encore sans succès (59e). Babic tente la solution individuelle et réalise une percée superbe mais manque de lucidité sur son tir (66e). Les frappes de Modric et d'Olic finissent à côté (82e, 83e).

    En face, les enchainements collectifs sont tout proches de porter leurs fruits. Tamada oublie Ogasawara en retrait et voit son centre contré (77e). Santos, qui en a encore sous la semelle, vient à plusieurs reprises fixer et défier la défense mais n'obtient rien de mieux que des corners (72e, 89e). Comme pour que la boucle soit bouclée, la dernière offensive de la partie est à l'actif des Croates. Ils profitent des espaces laissés par les Nippons sous le coup de la fatigue pour s'échapper en contre, à 3 contre 3. Mais Olic, pourtant entré en cours de jeu, manque de lucidité pour une passe qui aurait pu être décisive. La conséquence immédiate de cet énième raté est le partage des points. Jeudi prochain au soir, au moment des comptes, elle pourrait être pire.

     

    L'HOMME DU MATCH: Yoshikatsu Kawaguchi (Japon)

    Durant cette partie, beaucoup de joueurs se sont mis en évidence et ont tout donné, notamment le trio offensif croate. Mais il faut distinguer Kawaguchi. En écartant le penalty de Srna à la 22e minute, le portier nippon a permis aux siens de préserver le score de parité et de garder l'espoir. S'il n'a pas eu beaucoup de travail le reste du temps (3 arrêts et quelques sorties), Kawaguchi a tout de même trouvé le moyen de se donner des frissons en ratant un contrôle. Une inattention qui aurait pu coûter cher. Mais la chance était de son côté.

    LA DECLA : Zlatko Kranjcar (sélectionneur de la Croatie)

    "Je crois que nous avons fait un bon match. J'aimerais féliciter les deux équipes. Nous avons dominé dans le jeu, nous nous sommes créés beaucoup d'occasions, mais nous n'avons pas marqué. Nous avons manqué de réussite, mais nous ne devons pas être déçus car si nous gagnons notre prochain match, nous sommes qualifiés. Les joueurs ont encore assez de ressources pour cela. Nous avons perdu deux points. Mes attaquants doivent commencer à sentir la pression, et maintenant je dois aller leur parler, leur dire qu'ils n'ont pas à se mettre la pression, parce qu'ils vont marquer. J'ai été attaquant, je sais ce que c'est."


    Le Brésil à son rythme 

    Le Brésil à son rythme

    Plus d'infos

    Le Brésil s'est qualifié pour les 8e de finale. Mais il a fallu batailler face à une solide équipe d'Australie (2-0). Bousculée, la Seleçao est montée en régime au fil du match. Quant aux hommes de Guus Hiddink, ils restent toujours en course avant d'affronter la Croatie.

    BRESIL - AUSTRALIE : 2-0
    Buts : Adriano (49e) et Fred (89e)

    Après le match nul entre la Croatie et le Japon (0-0), autres pensionnaires du groupe F, un peu plus tôt dans l'après-midi, le Brésil et l'Australie s'affrontent à Munich avec la ferme intention de se qualifier pour les huitièmes de finale. Victorieuses de leur premier rendez-vous, les deux nations ont proposé un beau spectacle pendant 90 minutes mais une seule s'est approprié les trois points, synonymes de qualification à l'Allianz Arena. Celle qu'on attendait...

    Première période : Dans la tenaille australienne

    Proposant d'entrée son 4-2-2-2 habituel, avec Adriano et Ronaldo en pointe, épaulés juste derrière par Ronaldinho et Kakà, Carlos Alberto Parreira avait décidé de reconduire la même équipe que celle alignée contre la Croatie (1-0). Ronaldo, dont les récentes prestations n'ont convaincu personne, hormis peut-être le sélectionneur brésilien, puisqu'il persiste à l'aligner, savait qu'il jouait la suite de sa compétition sur ce match. Transparent mercredi, le Madrilène, très critiqué cette semaine, a offert une prestation en légère hausse contre les Sooceroos.

    Le double ballon d'or s'illustre dès la troisième minute en servant parfaitement Kakà qui, d'une frappe de volée aux 20 mètres, donne ses premières sueurs au gardien australien Mark Schwarzer. La réplique "aussie" est immédiate puisque moins de deux minutes après le tir du milieu du Milan AC, c'est Mark Viduka qui tente sa chance de la même distance. En vain. Les premières minutes du match sont marquées par quelques fautes dont les Australiens sont les seuls à avoir le secret. Pour avoir protesté une des décisions de l'arbitre Markus Merk, Brett Emerton récolte le premier carton jaune de la partie (13e).

    L'Australie est bien en place et, premier enseignement de la rencontre, le Brésil ne parvient pas à développer son jeu offensif. Pris en individuel par Cahill, Kakà tente de provoquer la défense mise en place par Guus Hiddink en lançant en profondeur Ronaldo (25e et 37e). Avant la mi-temps, ce dernier enroule sa frappe à 25 mètres mais elle vient mourir à un mètre du but australien. Dans la tenaille australienne, le Brésil n'y arrive pas et s'expose au contre : un tir puissant mais au-dessus de Bresciano, rentré à la place de Popovic, touché au mollet, conclut les 45 premières minutes. Une première période parfaitement maîtrisée par les Sooceroos.

    Seconde période : Adriano en libérateur

    Les 22 acteurs sont les mêmes au retour des vestiaires. Le score, lui, va vite évoluer. Ronaldinho, transparent tout au long de la partie, lance en profondeur Ronaldo, à la limite du hors-jeu. Le Madrilène sert Adriano, après un passement de jambes à l'entrée de la surface. Le joueur de l'Inter Milan contrôle puis se met sur son pied gauche. Et frappe à ras de terre, entre les jambes du défenseur Neill. Schwartzer est masqué et ne peut que constater les dégâts : le ballon roule dans son but au premier poteau (49e) pour venir mourir dans ses filets.

    Obligée de se découvrir pour revenir au score, l'Australie va se procurer de nombreuses et sérieuses occasions. Placé en milieu récupérateur, Zé Roberto s'illustre défensivement à deux reprises en taclant Bresciano (55e) puis Kewell (61e), partis en contre-attaque. Entre temps, Dida, à l'image de sa saison avec le Milan AC, avait donné quelques frayeurs à Carlos Alberto Parreira en relâchant un ballon mal dégagé par sa défense (56e). Mais la frappe de Kewell, rentré juste avant l'heure de jeu, passera finalement au-dessus. L'Australie n'est pas loin d'égaliser sur une tentative de lob du joueur de Liverpool, mais le résultat reste le même (68e) et le ballon vient mourir à quelques centièmes du but auriverde.

    Profitant des espaces offerts par les Sooceroos, le Brésil évolue en contres et va finir par se mettre définitivement à l'abri en fin de rencontre. Rentré en jeu à la 88e minute à la place d'un Ronaldo, plus en jambes que contre la Croatie mais sifflé tout de même à sa sortie, le Lyonnais Fred ne met qu'une minute pour amplifier le score. Robinho récupère un ballon sur l'aile droite puis frappe à ras de terre sur le poteau. En bon renard brésilien des surfaces qu'il est, Fred a suivi et n'a plus qu'à pousser le cuir dans le but désert. Et scellé ainsi une victoire synonyme de ticket pour les huitièmes de finale. Le Brésil s'impose finalement en ayant imprimé son propre rythme tout au long du match mais n'a pas rassuré. Les Australiens, qui n'ont pas démérité, joueront leur qualification jeudi prochain face à la Croatie. Un nul leur suffira pour poursuivre la compétition.

    L'HOMME DU MATCH : Zé Roberto (Brésil)

    Replacé en milieu défensif, le Brésilien a été le meilleur Auriverde contre l'Australie. Le combat du milieu a souvent été facilité grâce à ses interventions et ses anticipations. Il fut même le sauveur des Brésiliens à deux reprises en taclant Kewell et Bresciano, qui filaient seul au but. Un match plein de l'ancien joueur du Bayern Munich qui a déclaré après la rencontre que le Brésil était en train "de monter en puissance".

    LA DECLA : Carlos Alberto Parreira (Brésil)

    "On est contents de la qualification, ce fut une victoire méritée. On a su imposer notre jeu et faire circuler le ballon et on s'est bien imposés physiquempent. Il est vrai qu'avec trois attaquants australiens dans notre surface, c'était compliqué, on a souffert mais le bilan comptable est bon. C'est normal qu'on ne soit pas encore au top. On n'a joué que trois matches amicaux avant la Coupe du monde et nous montons en puissance progressivement. On a mieux joué que contre la Croatie et on jouera encore mieux le prochain match. Tout ça est normal".


    On a retrouvé Vieira 

    On a retrouvé Vieira

    Plus d'infos

    Loin de son niveau face à la Suisse, Patrick Vieira a beaucoup mieux joué face à la Corée du Sud. Intraitable au milieu, il a été à l'origine du but tricolore. Pour son retour, Florent Malouda a été remuant et utile. Thierry Henry a délivré les Bleus. Les défenseurs n'ont pas eu grand chose à faire.

    FABIEN BARTHEZ : Le gardien tricolore n'a rien eu à faire en première mi-temps. Heureux de voir un coup franc de Chun-Soo passer à côté (37e), il n'a pas touché le ballon avant la 80e minute sur un tir de Ding-jin... juste avant le but de Park où il effleure le ballon du bout des doigts. Pas très rassurant sur la fin de match quand les Coréens ont poussé.

    WILLY SAGNOL : Sérieux et appliqué comme à son habitude, le latéral du Bayern a bien contrôlé Lee Chun Soo. Il est monté assez souvent pour apporter le surnombre comme à la 63e minute où il a dribblé trois Coréens avant de voir son tir dévié en corner.



    LILIAN THURAM : Pas franchement sollicité par les Coréens, le défenseur a fait le métier pour sa 116e sélection. Par contre, à part en début de rencontre, il n'a pas apporté de plus en faisant remonter le bloc tricolore. Il ne peut rien sur le but de Park.

    WILLIAM GALLAS : Il a failli tromper Barthez d'une tête en retrait dès la 23e minute. Bien placé en première mi-temps, il n'a pas pu empêcher l'égalisation coréenne sur la ligne.

    ERIC ABIDAL : Encore une belle prestation du latéral. Le Lyonnais a parfaitement contrôlé Park sur son côté gauche jusqu'à la 80e minute. A la pause, c'est lui qui avait touché le plus de ballons chez les Bleus. Comme face à la Suisse, il n'a pas beaucoup apporté offensivement. Un tacle appuyé à la 79e minute et un carton jaune le privent du match contre le Togo.

    PATRICK VIEIRA : Le grand Vieira est de retour. Impeccable au milieu de terrain, il a intercepté beaucoup de ballons. C'est lui qui est à l'origine du but français et qui sert Wiltord sur une montée comme qu'il les affectionne, à grandes enjambées. Son coup de tête à la 31e minute aurait du permettre aux Bleus de mener 2-0 mais l'arbitre n'a pas accordé le but alors que le ballon avait franchit entièrement la ligne.

    CLAUDE MAKELELE : Rayonnant face à la Suisse, il a été moins en vue aux côtés d'un Patrick Vieira éclatant cette fois-ci. Il a toutefois joué plus haut, ce qu'on lui avait reproché de ne pas faire lors du premier match. Un grosse activité malgré tout, comme d'habitude.



    SYLVAIN WILTORD : Remuant et disponible, il a beaucoup permuté avec Malouda. De nombreux tirs, dont un dangereux (7e), mais pas souvent cadrés. L'un d'entre eux s'est transformé en passe décisive involontaire pour Henry (9e). Remplacé poste pour poste par FRANCK RIBERY (60e) qui a apporté rythme et percussion dans la dernière demi-heure à des Bleus qui s'endormaient. A l'aise dans ce rôle de joker, le Marseillais a beaucoup débordé et centré mais sans succès.

    ZINEDINE ZIDANE : Une performance contrastée du maestro. S'il a touché plus de ballons que face à la Suisse, il en a aussi perdus plus face aux Coréens. Une passe lumineuse pour Henry qui aurait pu être décisive pour la première fois entre les deux hommes (84e). Le capitaine a pris un carton pour un geste d'humeur qui l'empêchera de jouer face au Togo. Il doit désormais espérer que ce match face à la Corée ne soit pas son dernier. Remplacé bien tard (90e) par DAVID TREZEGUET...

    FLORENT MALOUDA : Absent face à la Suisse, son retour a fait du bien à l'équipe de France. Il n'a pas raté son baptême en Coupe du monde. Toujours revenu pour défendre, ses débordements ont fait du mal aux Coréens. Des derniers gestes ont parfois été brouillons. Remplacé à la 88e minute par VIKASH DHORASOO qui n'a eu le temps de rien.

    THIERRY HENRY : C'était bien parti. Seul en pointe avec Wiltord et Malouda sur ses côtés, il ouvre le score sur une passe involontaire du premier (9e). Son 34e but chez les Bleus, la fin d'une disette longue de 369 minutes en Coupe du monde pour la France. Henry a aussi bien défendu, descendant parfois un peu bas pour chercher les ballons. Il n'a pas réussi à transformer en but le caviar de Zidane, butant sur Lee Woon-jae (84e). Un peu moins en vue en seconde période.





     

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