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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
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    Coupe du Monde 2006

    22/06/2006 06:58



    L'Angola reste à quai

    L'Angola reste à quai

    Plus d'infos

    Fin du rêve pour les Angolais. Incapables de battre l'Iran (1-1) mardi à Leipzig, ils n'ont pas su profiter de la défaite mexicaine face au Portugal. Les Palancas Negras, en mal de percussion offensive, quittent donc le Mondial 2006 en terminant troisièmes du groupe D.

    ANGOLA - IRAN: 1-1
    Buts : Flavio (60e) pour l'Angola - Bakhtiarizadeh (76e) pour l'Iran

    Avec une courte défaite face au Portugal (1-0), un nul méritoire face au Mexique (0-0), l'Angola n'avait pas perdu tout espoir de se hisser en huitièmes de finale de la Coupe du monde. Malgré l'obligation de s'imposer largement face à l'Iran, Luis de Oliveira Gonçalves avait décidé de ne pas changer de dispositif tactique et présentait une équipe en 4-5-1, solide en défense mais souvent bien incapable de prendre le jeu à son compte sur le front de l'attaque.

    Première période : L'Iran techniquement supérieur

    En quête d'exploit, les Angolais abordaient la rencontre pied au plancher. Dans le sillage d'un milieu de terrain à 5, la formation africaine imprimait au cours des premières minutes un pressing très haut pour gêner la relance iranienne. Elle faisait cependant bien vite la preuve de ses limites actuelles. Malgré la pointe de vitesse de Kalanga sur le coté droit, une belle complémentarité entre Love et Akwa aux avant-postes et une succession de corners, les Palancas Negras ne parvenaient à mettre à contribution le portier iranien que sur des frappes lointaines d'Akwa (12e, 28e), Figueiredo (15e), Miloy (34e) et Love (45e)

    Après quelques minutes de flottements, les Iraniens profitaient des blessures successives de Loco et Mateus pour prendre la direction des opérations, grâce notamment à leur plus grande maîtrise technique. Bien dirigés par Mahdavikia, les hommes d'Ivankovic s'installaient dans la moitié de terrain adverse. Malgré la présence régulière de 4 ou 5 joueurs sur le front de l'attaque, les vagues iraniennes s'empalaient pourtant irrémédiablement sur la charnière centrale africaine. Zandi, dont la tête était repoussée sur la ligne (27e), et Daei (24e) démontraient cependant qu'il y avait bel et bien la place !

    Seconde période : L'Angola craque physiquement

    Au retour des vestiaires, la tâche des Angolais prenaient des allures de mission impossible. Touché à la cuisse, Akwa, le capitaine et attaquant des Palancas Negras, quittait prématurément ses partenaires. Comme paralysés par ce coup du sort, les Angolais baissaient de pied, laissant le monopole du ballon aux Iraniens. Alors qu'ils semblaient au bord de la rupture, ils déjouaient cependant la vigilance adverse au terme d'un contre mené tambour battant. Kalanga servait Flavio qui d'une tête croisée imparable, enflammait tout un peuple (60e, 1-0).

    La qualification à portée de pied, les Angolais payaient de plein fouet les efforts consentis depuis le début de la compétition. Moins présents dans les duels, obligés de courir après la ballon face à la maîtrise technique des Iraniens, les joueurs africains baissaient de régime et n'avaient pas les moyens de résister longtemps aux assauts adverses. Plus frais, s'appuyant sur un jeu en passes courtes et une succession de une-deux, les joueur du Moyen-Orient égalisaient par l'intermédiaire de Bakhtiarizadeh sur corner (76e, 1-1), mettant ainsi fin aux rêves de toute une nation. L'Angola sort cependant la tête haute de sa première Coupe du monde.

    L'HOMME DU MATCH : Mehdi Mahdavikia (Iran)

    L'Iran quitte la Coupe du monde la tête basse sans aucune victoire au compteur. Mehdi Mahdavikia a pourtant prouvé une nouvelle fois que la formation du Moyen-Orient possède dans ses rangs des éléments capables d'évoluer sur le vieux continent. Le joueur de Hambourg fut au four et au moulin face à l'Angola. Prenant une part une part prépondérante dans le jeu iranien aussi bien dans la récupération que dans la construction, il a fait la démonstration de sa maîtrise technique en ne perdant qu'un seul ballon au cours des 90 minutes. Sa passe décisive sur corner a permis à sa formation de ne pas quitter la compétition fanny.


    Anelka en exclusivité ! 

    Anelka en exclusivité !

    Plus d'infos

    Nicolas Anelka, en interview exclusive sur notre site, a donné son avis sur l'équipe de France. L'attaquant de Fenerbahçe, non-retenu par Raymond Domenech, a avoué son amertume mais souhaite la qualification des Bleus pour les huitièmes de finale vendredi contre le Togo.

    CHRISTOPHE JAMMOT : Nicolas, votre place n'est elle pas en Allemagne plutôt que sur ce plateau?

    NICOLAS ANELKA : A choisir, j'aurais préféré y être... mais je suis ici, et je vous remercie de m'avoir invité.

    Avez-vous une explication à votre non-sélection?

    N.A.: Non. J'ai été rappelé un peu avant la Coupe du Monde. J'ai fait 3 matches. Je pense que j'ai bien géré la situation, j'ai fait ce que j'avais à faire....En tous cas, je ne regrette rien du tout, je sors la tête haute.

    Pas plus que ça?

    N.A. : Non pas plus, car je n'y suis pas. J'aurais préféré y aller mais c'est le choix du sélectionneur.

    Sur votre site internet, le jour de l'annonce des 23, vous indiquiez que vous étiez déçu mais que la vie continuait. Auriez-vous eu cette réaction il y a 3 ou 4 ans ?

    N.A.: Oui, je l'ai même eue en 1998 lorsque je n'avais pas été sélectionné. Il faut savoir accepter les choses comme ça. Je pense qu'il ne faut pas trop y penser sinon j'aurais sombré et je n'aurais peut-être pas pu relever la tête pour jouer dans les différents clubs où j'ai évolué tout au long de ma carrière. Mais ça reste quand même ma troisième Coupe du monde consécutive manquée !

    N'y a-t-il pas un décalage entre l'image, ou la pseudo image d'Anelka, et la réalité? Pourtant les gens vous adorent, notamment les enfants...

    N.A.: Oui, parce que je viens de Trappes, de la banlieue...on peut dire que je représente beaucoup de gens issus de ces quartiers.

    Avez-vous l'impression d'avoir été utilisé comme un instrument pour le match de l'Equipe de France aux Antilles?

    N.A.: Non, pas un instrument car c'était quand même un match important. J'avais beaucoup de pression car c'était mon retour... et encore plus de pression car je suis Antillais et que le match était en Martinique, chez moi. C'était une très grosse pression, et malgré cela, j'ai montré que je pouvais être assez bon.

    Et peut-être un peu plus que ca! Vous avez été impeccable contre le Costa Rica...On parle aujourd'hui de ce fameux couloir droit en Equipe de France... Vous étiez en concurrence avec Cissé, mais il a été pris a votre place... avez vous suivi le match France / Chine?

    N.A.: Non. Je venais juste d'arriver à Saint Martin. C'est un ami qui me l'a appris dès ma descente de l'avion.

    Est ce que vous avez pensé être appelé a ce moment-là?

    N.A.: Non, pas vraiment, puisque je pensais figurer dans la liste des 23 dès le départ. Si je n'étais pas dedans, c'est qu'il y avait une raison.

    Vous n'avez donc pas été surpris par le rappel de Sydney Govou?

    N.A.: Non, pas du tout.

    Il y a une forme d'injustice?

    N.A. : Je le pense oui, en effet. Normalement, quand on constitue l'Equipe de France, on prend les meilleurs. Or, aujourd'hui, je ne suis pas sûr qu'il y ait les meilleurs joueurs en Equipe de France.

    Aujourd'hui vous seriez presque en phase avec les propos de la presse, ce qui n'a pas toujours été le cas. Vous lisez dans la presse ce qui se dit sur l'Equipe de France, les analyses, etc.?

    N.A.: Vous savez, je sais analyser le jeu de l'Equipe de France. Mais je lis aussi ce qui ce dit dans la presse, bien sûr.

    Dans vos rêves, pensez-vous encore à l'équipe de France?

    N.A.: Oui, bien sûr. Je peux encore jouer avec l'Equipe de France. Je n'ai que 27 ans...

    Vous avez un nom pour un sélectionneur ? Celui par exemple qui aurait pu vous faire venir à Monaco...

    N.A.: Didier Deschamps? Oui bien sûr ! (rires)

    Vous n'en voulez pas à Raymond Domenech? Vous ne souhaitez pas que l'Equipe de France rate son Mondial?

    N.A.: Non. Comme je l'ai déjà dit, il a fait ses choix. Il a pris, selon lui, les meilleurs joueurs et si ça lui réussit tant mieux. Si ce n'est pas le cas, il faudra changer d'entraîneur... Didier Deschamps a fait du bon boulot a Monaco... et aujourd'hui il n'a pas de clubs...peut-être que ça sera la Juve, peut-être que ce sera Chelsea...

    Et vous irez où il ira?

    N.A.: Non, je ne sais pas du tout... ce que je veux juste dire, c'est qu'il est bon.

    Vous avez l'impression aujourd'hui de payer quelque chose?

    N.A.: Peut-être mes antécédents avec l'Equipe de France sous l'ère de Santini...

    S'il n'y avait pas eu ces épisodes-là, vous pensez que vous seriez en Equipe de France?

    N.A.: Je ne sais pas... avec Santini je n'avais jamais eu de problèmes mais je sentais quelque chose de bizarre. J'étais l'un des meilleurs buteurs du championnat d'Angleterre, et pourtant je ne jouais pas en Equipe de France. Je n'avais pas eu de problèmes avec la fédération, je ne connaissais pas Santini... après, il fallait juger sur le terrain...

    Ce qui est terrible, c'est qu'on a l'impression que vous avez tué quelqu'un...

    N.A. : J'ai l'impression aussi ! Ce que j'ai fait, ça a toujours été en réaction à quelque chose... il y avait des choses malsaines...

    Vous payez tout ça aujourd'hui...

    N.A.: Il y a peut-être des gens qui m'en veulent... mais ce qui est fait est fait et c'était il y a 4 ans... le plus important c'est de parler sur le terrain. Je donne tout sur le terrain, y compris en Equipe de France...même quand j'étais remplaçant. Parce que ça aussi ça a posé un problème, soit disant je refusais d'être sur le banc ! Il n'a jamais été question de venir en Equipe de France à la seule condition de jouer.

    Etes- vous soucieux ce votre image?

    N.A.: Non. Je suis naturel, je suis comme je suis. J'agis comme je dois agir... je ne tente pas de faire quelque chose par rapport à la presse, pour donner une bonne image de moi.

    Quand on approche votre sphère, on évoque souvent à tort le showbizz. Alors qu'en fait ce sont des amis de longue date qui vous entourent : c'est un cercle relativement fermé, avant tout basé sur la sincérité, l'humilité, la franchise. Et pourtant on a l'impression que tout ça ne ressort pas. Est-ce une façon de vous protéger?

    N.A.: C'est vrai que le football, c'est un monde de requins. Depuis que j'ai commencé le foot j'ai toujours ma famille qui est autour de moi. J'ai gardé les amis que je devais garder.

    Vous êtes méfiant quand quelqu'un approche?

    N.A. : Il faut toujours l'être, surtout quand il y a beaucoup d'argent en jeu. C'est normal de préserver ses proches. Il y a des gens qui ne l'ont pas accepté, qui voulaient que je prenne un manager, quelqu'un de l'extérieur... chose que je n'ai pas voulu dès le départ...

    La suite de l'histoire, c'est où? A Fenerbahçe toujours?

    N.A. : Pour l'instant, oui. Mais peut-être que je changerais de club l'année prochaine. Pour le moment, je n'ai rien signé... et en football, tant qu'on a rien signé, rien n'est fait. J'aimerais bien revenir en "Europe..."

    Il y a un football qui vous attire plus qu'un autre ?

    N.A.: L'Angleterre, mais ça tout le monde le sait. C'est un championnat que j'aime bien, ouvert et offensif. Maintenant, entre "vouloir" et "pouvoir"... J'ai eu des contacts directs mais pas avec les clubs que je veux. Je sais que je peux évoluer dans n'importe quel grand club. Je sais ce que je vaux mais j'ai toujours une image qui me fait défaut....

    Vous suivez la Coupe du Monde de quelle façon?

    N.A.: Je regarde tous les matches.

    Un coup de coeur? Un coup de crampons?

    N.A.: J'ai bien aimé l'Argentine, une très bonne équipe avec des très bon joueurs. L'Espagne aussi ! Quand il y a des buts, c'est beau le football. Ces équipes-là, on devrait les retrouver en quarts ou en demis, avec le Brésil aussi. Tout le monde critique le Brésil mais, quand les équipes affrontent le Brésil, c'est onze mecs derrière qui attendent le contre. Je suis aussi un grand fan de Ronaldo et malgré les critiques, il ne faut pas oublier ce qu'il a fait. Ça reste un joueur extraordinaire et à la moindre occasion, il peut la mettre au fond.

    On parle beaucoup pendant ce Mondial des erreurs d'arbitrage. Ça vous a déplu?

    N.A.: C'est gênant mais ça fait partie du football, ça a toujours été comme ca. Sur l'occasion de Patrick Vieira, même s'il y avait eu un arbitre derrière la cage, il ne peut pas voir si le ballon est rentré. Et la vidéo, cela arrêterait le match à chaque fois....

    Vous avez déjà eu des problèmes avec le corps arbitral?

    N.A. : Non, jamais, j'ai juste pris une fois un carton rouge avec Manchester city.

    Vos trois stars du mondial?

    N.A.: D'abord, Zizou.....

    Ca veut dire que les Français vont gagner contre le Togo?

    N.A.: Oui, sinon ils n'ont rien à faire là...

    On commence à douter des capacités de la France...

    N.A.: Il y a des joueurs qui ont encore en tête la Coupe du monde 2002. Les matches de préparation n'ont pas été terribles non plus. Ce qui se passe aujourd'hui, c'est dans la continuité. Aujourd'hui, l'équipe a dû mal, elle a eu dû mal en qualif'. Il ne faut pas s'attendre à une grande équipe de France, même si elle peut aller au bout !

    Vous comptez 31 sélections à l'heure actuelle... l'envie est intacte?

    N.A.: Je n'ai pas fermé la porte. Je peux jouer en Equipe de France.





     

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