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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 59 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
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    Formule 1 Canada

    23/06/2006 07:19



    Montréal verbatim

    Montréal verbatim

    Plus d'infos

    Impressions de pilotes et techniciens avant le Grand Prix du Canada, 9e manche du Mondial de F1 2006.

    Fernando Alonso (Renault) : "Il y a toujours de nombreux abandons en course car les moteurs sont très sollicités, il y a aussi de gros freinages et la transmission souffre car il y a beaucoup de relances à basse vitesse. Je crois que les freins seront certainement le point essentiel. Nous emmenons peu d'appuis, il faut donc être confiant dans son système de freinage car la voiture est très légère et nous travaillons dur pour trouver le bon " feeling ".

    Giancarlo Fisichella (Renault) : "C'est un circuit difficile. Le niveau d'appuis est faible, ce qui rend la voiture nerveuse et délicate à piloter ; nous devons être rapides et précis dans les chicanes : il n'y a pas le grip nécessaire pour rattraper le coup si vous sortez légèrement de la trajectoire. Il faut donc trouver le bon équilibre entre être agressif et rouler plutôt coulé. J'ai toujours beaucoup apprécié ce circuit."

    Kimi Räikkönen (McLaren) : "Montréal est spécifique par ses lignes droites et ses virages lents. Plus que sur d'autres circuits, il nous faudra une voiture bien équilibrée pour négocier les virages et surtout pour en sortir. Sans ça, vous pouvez perdre beaucoup de temps en ligne droite. La piste offre un niveau d'adhérence assez faible et ne sera pas très dur avec nos pneus Michelin. Nous devrions donc utiliser des gommes tendres. Montréal requiert de la précision car c'est un circuit tracé sur des routes ouvertes à la circulation et les rails sont très proches de la piste. Au début, la piste est couverte de poussière, mais ça va en s'améliorant avec le dépôt de gomme."

    Juan Pablo Montoya (McLaren) : "Les circuits de Silverstone et de Montréal sont rapides, mais différents. A Silverstone, il n'y a pas de gros freinages. En revanche, le freinage sera un élément-clé de la course de Montréal. C'est sans aucun doute le circuit le plus exigeant dans ce domaine et il conviendra de trouver un bon équilibre pour la voiture dans ses phases de freinage. "

    Rubens Barrichello (Honda) : "Le Grand Prix du Canada est l'une de mes courses préférées du calendrier. D'abord, la piste est un réel défi en soi et nous avons beaucoup travaillé pour configurer et préparer les voitures à cette course."

    Jenson Button (Honda) : "Montréal est un formidable circuit et j'adore y courir. Outre le circuit qui fait de ce Grand Prix l'un de mes préférés de la saison, il règne toujours à Montréal une atmosphère particulière."

    Nick Heidfeld (BMW) : "Montréal et Melbourne sont sans doute mes deux courses que je préfère. Sans même parler du circuit, j'aime la ville de Montréal, je vais m'y rendre quelques jours avant le début du Grand Prix. C'est l'un des derniers circuits rapides du calendrier. Il y a de longues lignes droites, des virages relativement lents et des chicanes."

    Jacques Villeneuve (BMW) : "Les pneus jouent un rôle très important à Montréal. Premièrement, les lignes droites sont assez longues. Du coup, les vitesses sont relativement élevées et peuvent créer des effets de chaleur et de bullage. Ce circuit est différent de tous les autres, parce que tous les virages y sont lents. Ils exigent des freinages violents, et, par voie de conséquence, de fortes accélérations. La charge placée sur les pneus y diffère de celle que l'on mesure sur la plupart des autres circuits, parce qu'il y a ici très peu de charge latérale ; elle est presque uniquement longitudinale."

    Ralf Schumacher (Toyota) : "Nous n'avons pas eu le plaisir d'enregistrer de très bons résultats ces derniers temps, mais je reste persuadé que nous allons continuer à progresser. La TF106B a encore fait un pas en avant et même s'il nous reste encore beaucoup à faire pour atteindre le niveau que nous souhaitons, nous sommes sur la bonne voie. Nous avons amélioré la voiture sur le plan mécanique et nos pneus Bridgestone ont également progressé. Notre niveau de performance est bon et il nous faut simplement mieux terminer les courses. Le Canada est toujours un bel endroit où se rendre et y piloter est un réel plaisir. Montréal est une belle ville et son ambiance est fantastique durant le week-end du Grand-Prix."

    Jarno Trulli (Toyota) : "Nous ne faisons jamais d'essais privés à Montréal et il est donc difficile de prévoir quoi que ce soit, mais le GP du Canada a toujours été parmi ceux que je préfère. L'ambiance, tant sur le circuit qu'en ville, est merveilleuse. Nous utiliserons moins d'appuis aérodynamiques et de ce fait la voiture sera plus légèrement chargée, ce qui implique qu'il nous faudra être très précis. Pour l'instant, ma saison est loin d'être fameuse. La voiture est pourtant performante, mais j'ai eu énormément de malchance."

    Pascal Vasselon (Toyota, manager technique châssis) : "Le circuit Gilles-Villeneuve est un tracé très particulier avec de très longues lignes droites et quelques virages lents. Ce contraste entre ces deux extrêmes rend ce circuit particulièrement éprouvant au niveau des freins. Le défi est d'avoir une bonne stabilité au freinage sans souffrir d'un sous-virage trop important dans les virages lents. Sur piste sèche, ce sont les pneus de la gamme tendre qui auront notre préférence. Sous la pluie, la piste offre un niveau d'adhérence très faible en raison du bitume très lisse, il nous faut donc un mélange qui monte très rapidement en température. Quant aux dépassements, ils ne sont pas faciles mais pas impossibles, la plupart des tentatives ont lieu à la dernière chicane. Nous envisageons d'utiliser une évolution aérodynamique intéressante pour la course et attendons donc avec impatience d'avoir l'opportunité de l'évaluer. "

    Tiago Monteiro (Midland) : "Montréal est franchement différent de Silverstone. C'est une piste exigeante, pas seulement en raison des gros freinages dans les virages lents mais aussi à cause des hauts vibreurs, qui peuvent sanctionner pilotes et voitures. C'est le genre de piste où l'on bataille plus qu'ailleurs, parce que les lignes droites sont longues et l'aéro compte beaucoup pour obtenir la meilleure pointe de vitesse possible. Ce n'est pas l'endroit idéal pour notre voiture. Mais il faudra faire avec."

    Christijan Albers (Midland) : "L'an passé, j'avais effectué un formidable tour avec la Minardi pour me qualifier en 15e position. Désormais je dispose d'une voiture totalement différente, elle est meilleure. Nous avons fait de réels progrès lors de nos derniers tests. L'équipe a fait un travail énorme et notre nouveau package est prometteur."

    Nick Shorrock (Michelin F1, directeur) : "La piste n'est pas beaucoup utilisée tout au long de l'année. Elle a tendance à se montrer glissante. Elle compte beaucoup de sections qui ont été resurfacées, et du coup elle exige un choix de pneus judicieux. Les pneus y sont généralement plus tendres qu'à Silverstone. En vue de l'épreuve de cette année, ils ont été préparés lors des séances d'essais du Castellet, de Vallelunga et de Barcelone. Ce furent des séances d'essais très difficiles."

     


    "Très prometteur..." 

    Theissen : "BMW construit un top team"

     

    Mario Theissen, directeur BMW Motorsport, nous confie ses impressions sur la saison en cours et ses attentes pour le futur de BMW en F1.

    Honnêtement, n'avez vous jamais douté quant à savoir si la décision de BMW de créer sa propre écurie était une bonne idée ?

    Mario Theissen : Je n'ai pas douté une seule seconde. C'était vraiment la seule décision possible. La volonté d'aligner une équipe BMW sur une grille de F1, est née grâce à ce que nous avons appris en tant que motoristes. Notamment, que l'importance du moteur n'est plus aussi prépondérante qu'autrefois. Mais surtout, nous avons toujours été convaincus que le succès n'est possible qu'avec des structures solides et intégrées à l'équipe. Le travail conjoint des sites de Munich et Hinwill porte ses fruits. J'en suis heureux, mais ça ne signifie pas pour autant que nous n'analysons pas nos méthodes de travail. Après tout, nous sommes toujours en phase de développement.

    Comment voyez-vous les progrès de l'équipe après les huit premières courses de la saison ?

    M.T. : Très prometteurs. Nous avons marqué des points lors de six courses sur huit et nos deux voitures ont fini dans les points à deux reprises. Le Grand Prix de Grande Bretagne, en particulier, a été très positif pour nous. Nous avons été parmi le top 4 des écuries durant tout le week-end. Nous avons terminé 7e et 8e sans bénéficier d'abandons. Ca représente un grand pas en avant depuis nos débuts de l'année dernière.

    Mais, les résultats mis à part, êtes vous satisfait des progrès de l'équipe ?

    M.T. : Nous sommes au beau milieu d'une phase de développement qui doit durer deux ans. Ce n'est jamais facile de construire une écurie de F1 et je tire mon chapeau aux équipes de Hinwil et Munich pour ce qu'elles ont réalisé ces derniers mois. Elles ont pour ainsi dire travaillé 24 heures sur 24 !

    Est-ce que votre département aérodynamique est désormais prêt à rivaliser avec les grandes écuries ?

    M.T. : Notre soufflerie de Hinwil est une des meilleures, pour ne pas dire la meilleure. D'ici peu nous pourrons, à l'image des grandes équipes, l'utiliser 24 heures sur 24. Nos efforts sont d'ailleurs déjà récompensés puisque la corrélation entre nos recherches et les développements apportés à la voiture en course, nous a permis de la faire évoluer à chaque Grand Prix.

    Est-il vrai que vous comptez agrandir vos installations de Hinwil ?

    M.T. : Oui, nous allons construire de nouveaux locaux et accueillir d'autres collaborateurs...

    Quels sont vos objectifs pour la deuxième moitié de 2006 ?

    M.T. : Combler la seconde et demie par tour qui nous sépare des équipes de tête et faire mieux que la 8e place de l'année dernière, au classement des constructeurs. On est bien placés pour atteindre ces objectifs.

    Vous êtes actuellement 5e, la 4e place est-elle envisageable ?

    M.T. : Nous ne devrions pas être délogés de la 5e place. On est toujours tenté de chasser les équipes devant soi, mais si nous gardons cette position jusqu'à la fin de la saison, nous aurons atteint un de nos objectifs.

    En termes de fiabilité, seul Renault fait mieux que BMW Sauber. Comment avez vous réussi ce tour de force ?

    M.T. : La fiabilité à toujours été notre priorité, avant même la performance pure. Nous avons eu notre lot de problèmes, nous aussi, mais ça nous a permis de devenir réactifs quant-à leur résolution.

    Comment se passe l'intégration des sites de Hinwil et Munich au jour le jour ?

    M.T. : Dès le premier jour, il s'est révélé que nos façons de penser et d'envisager la course étaient similaires. Notre base commune est la volonté de construire un Top Team sans bruler les étapes. Notre efficacité au jour le jour est à mettre au crédit d'une excellente communication entre les différents sites.

    Êtes vous souvent à Hinwil ?

    M.T. : J'y suis un jour ou deux par semaine. Rencontrer les gens est un aspect important de mon travail entre deux Grand Prix. Mon bureau est toujours à Munich, où je m'occupe aussi de nos autres implications en sport automobile. Nous tenons autant à défendre notre titre en voitures de tourisme FIA WTCC qu'à renforcer le succès des quatre formules BMW (Allemagne, Asie, Etats Unis et Grande Bretagne).

    Comment résumeriez-vous le niveau de compétition en F1 cette saison ?

    M.T. : Les choses sont différentes cette année. Beaucoup d'équipes sont très compétitives et le peu d'écart entre certaines d'entre elles m'a surpris. Aucune ne peut réellement être sûre d'être dans les dix derniers de la séance de qualification... il y a beaucoup de tension et d'excitation en ce moment.

    Comment voyez-vous l'avenir de la F1 ?

    M.T. : Avec les récents accords entre les différents protagonistes de la F1, ce sport à tout pour s'assurer un futur très prometteur.

    Comment voyez-vous le niveau de performance de vos trois pilotes ?

    M.T. : Nous sommes très heureux ! Nick Heidfeld est aussi talentueux qu'on s'y attendait, aussi bien en course que pour le développement de la voiture. Jacques Villeneuve prouve à ses détracteurs qu'ils ont tort. Il est très motivé et à nouveau en excellente condition, ce qui me réjouit ! Notre 3e pilote, Robert Kubica est un diamant brut. C'était effectivement risqué d'engager un pilote aussi jeune et inexpérimenté, mais nous sommes très satisfaits de son travail. Il aura sa place en F1 un jour.

    Qui pilotera les BMW en 2007 ?

    M.T. : Nous aurons toujours une équipe très forte en 2007, mais notre décision définitive attendra la fin de la saison.

     

     

     





     

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