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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 38 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
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    Tour de France

    02/07/2006 07:44



    10 questions pour un Tour

    10 questions pour un Tour

    Plus d'infos

    Un Tour de France, c'est beaucoup de mystères et autant d'interrogations. Avant que la route ne délivre sa vérité, voici, à quelques jours grand départ alsacien, les dix questions clés de la 93e Grande Boucle. Dans un peu plus de trois semaines, à Paris, nous aurons les réponses…

    1. Armstrong parti, un grand favori se dégage-t-il ?

    La donne est forcément modifiée. En phagocytant le maillot jaune depuis 1999, Lance Armstrong cadenassait d'une certaine manière la course avant même qu'elle ne débute. Sur la ligne de départ, il y avait le Texan et tous les autres. En son absence, le jeu devient beaucoup plus ouvert. Pour autant, la hiérarchie des prétendants est assez claire. Ivan Basso, vainqueur du Giro, et Jan Ullrich, seul ancien lauréat du Tour présent à Strasbourg, semblent se détacher. Mais ni l'un ni l'autre ne peuvent prétendre au statut de favori unique. D'ailleurs, ils n'en veulent pas...

    2. Quelle est la meilleure équipe sur le papier ?

    Deux équipes semblent particulièrement bien armées pour guider leur leader vers le maillot jaune. Sans surprise, il s'agit de CSC et, surtout, T-Mobile. Jan Ullrich n'a peut-être jamais bénéficié d'un tel groupe autour de lui. Certes, par rapport à l'année passée, Vinokourov est parti, mais avec un seul leader clairement désigné et de vrais équipiers autour de lui comme Honchar, Rogers, Kloeden, Mazzoleni ou Sinkewitz, le coureur de Rostock aura du soutien en montagne. Sans doute plus encore qu'Ivan Basso, qui pourra tout de même compter sur Julich, Sastre, Voigt, Shleck ou Zabriskie. Mais il serait dangereux de sous-estimer le potentiel d'un groupe comme Discovery Channel. Armstrong parti, les appétits vont s'aiguiser et avec Popovych, Hincapie, Savoldelli ou Azevedo, Johan Bruyneel dispose de plusieurs atouts intéressants.

    3. La prise de pouvoir des jeunes peut-elle s'étendre au Tour ?

    Le printemps 2006 a été marqué par l'affirmation de la nouvelle génération au plus haut niveau. Toutes les classiques ont été remportées par des coureurs nés dans les années 80 : Pozzato, Boonen, Cancellara, Schleck et Valverde. Pas sûr toutefois que ce jeunisme puisse s'étendre dès cette année au Tour de France.

    Parmi les coureurs suscités, seul Valverde peut prétendre à la victoire finale à Paris, auquel il convient d'ajouter Damiano Cunego et Yaroslav Popovyh, voire Gomez Marchante ou Karpets. Néanmoins, le Tour, plus que tout autre épreuve, requiert une certaine maturité, aussi bien tactique qu'athlétique. Les vainqueurs de moins de 25 ans (Ullrich est le dernier en date) demeurent des exceptions.

    4. Ullrich est-il mieux préparé que d'habitude ?

    Difficile à dire. Jamais l'Allemand n'avait débuté aussi tardivement la saison en onze ans de carrière. Il a effectué sa rentrée lors du Tour de Romandie, à la fin du mois d'avril, en raison d'une blessure au genou. Comme trop souvent, sa préparation a eu pour but de permettre une remise aux normes pondérale, davantage qu'un peaufinement de sa forme. Reste qu'Ullrich arrive à Strasbourg avec trois victoires en poche, dont le récent Tour de Suisse. Il a donc quelques certitudes. Mais en 2004, il s'était également imposé dans l'épreuve helvétique, suivie de son plus mauvais classement à Paris (4e). Attention, donc, aux conclusions trop hâtives.

    5. Basso va-t-il payer son Giro ?

    Si l'on se réfère à l'année dernière, non. Le Varesan avait déjà doublé Giro et Tour en 2005, et il avait terminé la Grande Boucle en trombe lors de la dernière semaine. Il semble donc capable de supporter une fois encore l'enchainement des deux évènements. Au-delà de l'impact sur sa condition physique, il convient peut-être mieux d'aborder l'aspect mental. Psychologiquement, la quête du maillot rose, et plus encore celle du maillot jaune, demande énormément. C'est à ce niveau là que l'usure pourrait le guetter au mois de juillet.

    6. Que penser du parcours ?

    On ne peut plus classique au regard des éditions précédentes, même si les montagnards le jugent sévèrement. Cinq étapes de haute montagne, deux dans les Pyrénées et trois dans les Alpes, trois arrivées au sommet, deux chronos individuels, il n'y a rien de révolutionnaire. La cuvée 2006 apparait donc assez traditionnel. Par rapport à 2005, à noter tout de même le retour à un prologue classique et surtout la suppression du contre-la-montre par équipes. Conséquence, il y aura un chrono individuel avant d'aborder le premier passif montagneux, ce qui ne fut pas si fréquent ces dix dernières années. L'occasion pour les rouleurs de se placer en position de force avant les premiers cols.

    7. Où se jouera la victoire ?

    Cinq étapes de haute montagne et deux chronos individuels. C'est là, sauf énorme surprise, que s'écrira le scenario du Tour de France 2006. Le contre-la-montre du Creusot, la veille de l'arrivée à Paris, pourrait faire office de juge de paix, comme celui de Nantes, en 2003, qui avait départagé Armstrong et Ullrich. Mais pareil cas de figure est assez rare ces dernières, la messe étant dite au sortir du dernier massif montagneux. De l'avis général, la hiérarchie pourrait être figée au soir de la 16e étape, à La Toussuire. L'effrayant parcours, testé lors du dernier Dauphiné, risque de provoquer de gros dégâts, sans doute irréversibles.

    8. Peut-on voir un Français sur le podium à Paris ?

    On a "fêté" l'an dernier le vingtième anniversaire de la victoire française. Il y a tout lieu de penser qu'on célèbrera, avec autant de tristesse, le 10e anniversaire du dernier podium tricolore en 2007. Depuis la deuxième place de Richard Virenque derrière Jan Ullrich en 1997, aucun coureur français n'est monté sur la boite à Paris. A moins d'un concours de circonstances, on voit mal qui pourra stopper cette disette cette année. Christophe Moreau, quatrième en 2000, possède le meilleur profil pour y parvenir, mais on le voit plutôt entre la cinquième et la dixième place.

    9. Qui seront les grands absents?

    Lance Armstrong, d'abord. Pour la deuxième fois seulement depuis 20 ans, le tenant du titre n'est pas là. Or le Texan restait sur sept victoires consécutives. Son absence constitue donc un évènement important. Parmi les coureurs en activité, les principaux favoris ont répondu présent, y compris Damiano Cunego, longtemps indécis. A l'exception d'Armstrong, les 20 premiers du classement final 2005 sont tous là. Au rayon sprinters, Alessandro Petacchi, blessé au genou depuis le Giro, manquera à l'appel. Suite à l'opération Puerto, Santiago Botero a mis un terme à sa saison prématurément. Des dix premiers du classement Pro Tour, on notera l'absence de Fabian Cancellara. Le Suisse, vainqueur de Paris-Roubaix, rêvait de rééditer son exploit de 2004 en remportant le prologue. Raté.

    10. Le dopage peut-il gâcher la fête ?

    Il faudrait être stupide ou naïf pour croire que le spectre du dopage ne va pas planer d'une manière ou d'une autre sur le Tour de France. Depuis l'arrivée du Tour 2006, trois nouveaux scandale sont éclaboussé le cyclisme: l'affaire Armstrong, soupçonné d'avoir consommé de l'EPO en 1999, le contrôle positif de Roberto Heras lors du Tour d'Espagne, qu'il allait remporter pour la quatrième fois, et enfin, surtout, l'opération Puerto. Voilà peut-être, potentiellement, le plus grand scandale de l'histoire du cyclisme, dont on ne mesure pas encore la portée. On a donc connu des atmosphères plus sereines...


    La grande lessive ? 

    La grande lessive ?

    Plus d'infos

    Les organisateurs du Tour de France ont demandé lundi à l'équipe Astana-Wurth de se retirer de la Grande Boucle, qui débute samedi. Un coup dur pour Alexandre Vinokourov, leader d'Astana. L'Allemand Jan Ullrich serait lui aussi menacé. Le dopage est encore bien parti pour gâcher la fête...

    Quelque chose nous dit que la semaine va être longue, très longue. Et agitée. Très agitée. Lundi, au regard des dernières révélations parues dans la presse espagnole, les organisateurs du Tour de France ont décidé d'agir. Ils ont demandé à l'équipe Astana-Wurth de se retirer de l'épreuve, suite à la gigantesque affaire de dopage qui fait trembler le cyclisme espagnol sur ses fondations. En cas de refus, ASO s'adressera au Tribunal Arbitral du Sport pour obtenir la récusation de l'équipe ibérique, comme le prévoit le règlement.

    "Je prends les choses tranquillement. Je suis serein. Je ne lis quasiment pas les journaux", nous confiait lundi Alexandre Vinokourov, principale tête d'affiche d'Astana. Malheureusement pour lui, Jean-Marie Leblanc et Christian Prudhomme ont une lecture plus attentive de la presse. Désireux de trancher avant le départ du Tour, samedi, en Alsace, ils ne pouvaient plus attendre. L'ex-équipe Liberty est sur la sellette depuis l'interpellation de son directeur sportif Manolo Saiz dans le cadre de l'Opération Puerto déclenchée le 23 mai dernier. Pour calmer le jeu, Saiz a annoncé qu'il quittait la scène. Mais cela n'a pas suffi à éteindre le feu.

    Le TAS devra trancher

    Dans son édition de dimanche, El Pais annonçait que sur les 58 coureurs identifiés comme ayant utilisé des substances dopantes, et qui étaient des clients du docteur Fuentes, le personnage central de l'affaire, 15 au moins appartenaient à l'équipe anciennement dirigée par Manolo Saiz. Toujours selon le quotidien madrilène, la Guardia Civil a retrouvé également le calendrier de compétitions de l'équipe Liberty en 2005 avec le programme de dopage annoté.

    Même si l'enquête n'est pas encore terminée, loin de là, les organisateurs du Tour ont estimé que le faisceau de présomptions était suffisamment important pour passer à l'action. Le 13 juin, ils avaient déjà exclu la formation Comunidad Valenciana, elle aussi impliquée, mais le cas était plus simple à trancher, puisque cette formation avait été invitée par ASO. Là, la situation est plus complexe. Dans un premier temps, le Tour de France avait ainsi laissé le soin d'agir à L'UCI dans la mesure où l'équipe de Manolo Saiz avait automatiquement accès à la Grande Boucle en tant que titulaire d'une licence ProTour.

    La semaine passée, la commission des licences de l'UCI a accordé une licence sous réserve à Astana sans se prononcer sur le volet éthique. Elle a estimé n'être pas en mesure, " sur la base des éléments actuellement disponibles", de prendre une décision. Reste à savoir si en vertu de ces éléments, le TAS accédera à la demande du Tour, sachant qu'il apparait peu probable qu'Astana accepte de se retirer d'elle-même. Pour Vinokourov, qui a fait jouer ses contacts politiques au Kazakhstan pour débusquer le nouveau sponsor Astana, une éviction du Tour de France serait un terrible coup dur.

    Au tour d'Ullrich?

    Le Kazakh, qui a rejoint Liberty cet hiver, n'est pas impliqué personnellement dans cette affaire. Il paierait donc pour les errements des autres. Mais le patron de la Grande Boucle est fermement décidé à ne pas faire de quartier. Ce n'est pas la première fois que le Tour se lance dans un tel bras de fer. En 1999, déjà, les organisateurs avaient fermé la porte avant le départ à Manolo Saiz, qui les avait insultés l'année précédente, à Richard Virenque, impliqué dans l'affaire Festina, et à l'équipe TVM. L'appel de Saiz et Virenque devant la commission disciplinaire de l'UCI leur avait permis d'être réintégrés au bénéfice d'un vice de forme.

    Il faut donc s'attendre à de nouveaux rebondissements dans les jours qui viennent. Il se murmure que Jan Ullrich et Oscar Sevilla, les deux coureurs T-Mobile cités parmi les clients du Dr Fuentes, pourraient eux aussi être récusés par l'organisation du Tour. A moins qu'ASO ne dispose d'informations directement en provenance de la police ou de la justice espagnole, seul l'article publié lundi par El Pais accuse pour l'heure Ullrich. "Nous avons la morale pour nous", avait lâché Jean-Marie Leblanc voilà deux semaines. Quid du droit? Si l'Allemand, principal candidat au maillot jaune avec Ivan Basso, était interdit de départ, on ne serait en tout cas pas loin du tremblement de terre. On espérait que ce premier Tour post-Armstrong marquerait un nouveau départ. Une nouvelle ère. Une nouvelle chance. Ça n'en prend pas le chemin...





     

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