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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
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    Coupe du monde 2006

    14/06/2006 11:43



    Le Brésil s'en contentera

    Le Brésil s'en contentera

    Plus d'infos

    Tenant du titre et grandissime favori de ce Mondial 2006, le Brésil a débuté son tournoi par une victoire (1-0) face à la Croatie, mardi à Berlin. Kaka, d'une frappe limpide, a libéré une Seleçao assez loin de ses promesses. Avec un peu plus de réalisme, les Croates auraient même pu arracher le nul.

    BRESIL - CROATIE: 1-0
    But: Kaka (44e)

    Le Brésil peut s'estimer heureux. Dans l'ambiance surchauffée de l'Olympiastadion, les étoiles brésiliennes n'ont pas livré un grand match mais repartent avec le plus important : une victoire. Depuis 72 ans, les Auriverde n'avaient pas perdu pour leur entrée en lice en Coupe du monde. Ils n'ont pas changé leur habitude mais n'ont pas vraiment convaincu contre des Croates qui ont fait mieux que se défendre.

    Grâce à un exploit de Kaka juste avant la mi-temps, le Brésil remporte son huitième match de suite au Mondial. Au bilan comptable, le tenant du titre a bien commencé son tournoi mais au niveau de la manière, les stars brésiliennes ont laissé leurs fans sur leur faim. Ils devront sûrement faire plus d'efforts collectivement en défense pour conquérir un nouveau sacre. De leurs côtés, les Croates, qui n'ont jamais baissé les bras, devront rester sur cette dynamique contre le Japon.

    Première période : Le missile de kaka

    Sûrement impressionné par le quintuple champion du monde, la Croatie débute le match timidement. Dans les premières minutes, la situation est claire : le Brésil attaque et les Croates défendent. Profitant de l'entrée en matière croate, Roberto Carlos va donner le ton du match. Le défenseur gauche alerte une première fois Pletikosa d'une frappe de 30 mètres (13e). Sur le corner qui suit, Ronaldinho récupère le ballon avant de tirer à ras de terre mais le portier croate veille toujours (14e).

    Après ces deux alertes, les Croates vont se décomplexer au fur et à mesure. Sous l'impulsion de Babic et Kranjcar, ils mettent le pied sur le ballon. Le Brésil ne presse pas et laisse la Croatie développer son jeu. Kranjcar profite des largesses défensives auriverde pour tenter une frappe de 25 mètres qui passe à gauche (23e). Les champions du monde en titre défendent souvent à quatre et souffrent légèrement mais les joueurs des Balkans n'arrivent jamais à se montrer réellement dangereux à l'image de Tudor sur corner (38e).

    Solide défensivement, la Croatie va vivre son premier coup dur avec la sortie de son capitaine Niko Kovac à la suite d'une blessure aux côtes (40e). Quelques minutes plus tard, le Brésil va profiter de cette sortie et démontrer la puissance de son carré magique. Après une belle passe de Cafu, Kaka élimine deux joueurs devant la surface avant de placer un tir dans la lucarne de Pletikosa. Le but vient comme par hasard du secteur de jeu de Niko Kovac. Le Brésil a bafouillé sa tactique mais l'éclair de Kaka est venu le remettre dans le bon sens juste avant la pause.

    Seconde période : Le Brésil gère

    De retour sur la pelouse, les artistes croates vont repartir de l'avant. Bien en place, ils s'offrent deux belles frappes. Tout d'abord, Dabo Prso va faire frissonner tout le stade. L'ancien Monégasque réalise un superbe contrôle orienté avant de frapper en force. Heureusement pour le Brésil, Dida dévie parfaitement en corner. Trois minutes plus tard, Klasnic tente sa chance de loin mais le gardien milanais est encore sur la trajectoire.

    Le rythme de la rencontre baisse légèrement et le Brésil profite de la situation pour faire briller sa vitesse. Sur un bon centre de Cafu, Ronaldinho reprend de la tête à bout portant mais Pletikosa va sortir le ballon d'un beau reflexe. Si le portier croate brille, celui du Brésil n'est pas en reste et attire tous les ballons. Sur une nouvelle frappe de Babic, Dida est encore sur la trajectoire (70e). Les Croates n'ont plus les ressources pour aller chercher les ballons dans les pieds des Brésiliens et laissent la victoire aux grands favoris de la Coupe du monde.

    L'HOMME DU MATCH : Kaka (Brésil)

    Le carré offensif du Brésil était très attendu avant ce match. Les quatre attaquants brésiliens, Ronaldinho, Ronaldo, Kaka et Adriano, devaient enflammer l'Olympiastadion de Berlin. Pourtant si Ronnie a offert quelques gestes techniques, seul Kaka a vraiment été à la hauteur de sa réputation. Le milieu terrain du Milan AC a provoqué énormément de fautes et a confirmé sa forme du moment. Très présent du début à la fin, il a éclairé le jeu des Auriverde avant de les mettre sur la voie du succès d'une belle frappe de 20 mètres. Et contrairement à ses collègues de l'attaque brésilienne, il a également apporté sa contribution en défense.

    LA DECLA : Jurica Vranjes (milieu de terrain de la Croatie)

    "Le Brésil continue à être favori du Mondial. Nous n'avons pas fait un aussi mauvais match que cela. Nous leur avons fait cadeau de la première mi-temps. En deuxième mi-temps, nous avons eu beaucoup d'occasions, on aurait mérité le match nul. Il nous reste deux matches, nous sommes encore dans la course".


    Ribéry n'est pas le messie 

    Ribéry n'est pas le messie

    Plus d'infos

    Pour sa première titularisation, Franck Ribéry a été moins en vue face à la Suisse (0-0). Parfois inhibé, à l'image de son action à la 37e minute, le Marseillais n'a pas eu la même efficacité qu'en sortant du banc. Mais n'a-t-on pas mis trop d'espoirs et de pression sur lui ?

    Contrairement à Jean-Pierre Papin en 1986 ou David Trezeguet en 1998, titularisés comme lui pour la première fois en équipe de France lors d'une Coupe du monde, Franck Ribéry n'aura pas vraiment marqué les esprits. Jusqu'à sa sortie à la 70e minute, le Marseillais n'a pas apporté la percussion et l'explosivité qu'on l'avait vu offrir lors de ses entrées dans le dernier quart d'heure en matches de préparation. La chaleur qui s'abattait sur Stuttgart a peut-être pesé sur ses jambes. "Je suis satisfait de ma prestation. Sachant que la chaleur rendait les choses difficiles" , a-t-il toutefois commenté.

    "Je n'ai pas eu peur. Mes coéquipiers m'ont mis à l'aise. Lilian (Thuram) et d'autres joueurs sont venus me parler", raconte-t-il. Tendu avant le match lors des hymnes nationaux, Ribéry a cependant eu du mal à rentrer dans la partie. Ça n'est pourtant pas faute d'avoir essayé. Gavé de ballons par une équipe de France qui penchait fortement à gauche et constamment encouragé par Zidane, il a beaucoup tenté... mais sans connaître de réussite. Après des premières minutes prometteuses, il s'est peu à peu fait oublier dans un milieu de terrain où il a parfois marché sur les pieds d'un Zidane rayonnant. A l'aise des deux pieds, il peut jouer à gauche mais c'est vers l'axe, où il évolue avec l'OM depuis avril, qu'il est naturellement attiré. Au final, sa feuille statistique ne révèle qu'un seul tir... non cadré (31e).

    "Je n'ai pas eu peur"

    Mais la pression n'était-elle pas tout simplement trop forte ? Face à la Suisse, Ribéry a semblé avoir perdu de cette insouciance qui faisait sa force. A l'annonce de l'absence de Florent Malouda, on s'était presque réjoui en pensant à la titularisation de la nouvelle égérie du football français. Après une campagne de presse en sa faveur, Thierry Henry et Zinédine Zidane eux-mêmes lui avaient apporté leur adoubement. "Je l'ai déjà vu évoluer. Il démontre qu'il est bon à chaque prestation. Il peut faire plus que du bien à l'équipe de France. Mais, au-delà de ça, c'est quelqu'un qui marquera les esprits à chaque fois qu'il sera sur un terrain. Il deviendra quelqu'un de grand dans le foot", avait dit de lui Zizou la veille du match.

    C'était sans doute oublier que la France ne peut pas se reposer sur un gamin de 23 ans, aussi talentueux soit-il. Encore en National il y a deux ans, remplaçant puis joker de luxe il y a seulement une semaine, le Marseillais a connu une ascension fulgurante. Trop rapide sans doute. Car on ne peut pas demander à Ribéry ce que l'on attend de Zidane ou Henry. Le nombre de ballons qu'il a reçu en début de match impressionne. Après tout, il n'avait jusque là que 54 minutes d'expérience internationale dans les jambes avant de débuter face à la Suisse. Symbole de ce manque d'audace, à la 37e minute, il a préféré servir Henry trop en retrait au lieu de tenter sa chance alors qu'il se présentait seul face à Zuberbühler.

    Un joker ?

    Franck Ribéry ne serait-il pas plus utile dans ce rôle de joker où il avait brillé jusque là en Bleu ? Henry lui-même disait que le Marseillais était "capable de débloquer n'importe quelle situation". Il l'avait d'ailleurs démontré lors son entrée tonitruante face à la Chine (3-1). Alors que les organismes étaient marqués par l'étouffante chaleur de Stuttgart, on aurait aimé le voir sortir du banc pour faire la différence grâce à sa fraîcheur et sa fougue. Dimanche, face à la Corée du Sud, Malouda devrait reprendre sa place dans le couloir gauche. Mais rien ne dit que Ribéry sera décalé à droite. Ce dernier est d'ailleurs prêt à retrouver son rôle de remplaçant. "En tant que joueur, on aime bien débuter. Si je dois être sur le banc, je le ferai. Comme lors des trois matchs amicaux", a-t-il déjà annoncé.

    Car la Ribéry-mania est peut-être retombée. Dans la fournaise de Stuttgart, le vent de folie qui suit l'ancien Messin depuis son arrivée chez les Bleus mi-mai s'est quelque peu essoufflé. Certains, les mêmes qui l'acclamaient encore hier, ne manqueront pas de rappeler qu'il lui est déjà arrivé de passer à travers lors des grosses occasions à l'image de sa finale de Coupe de France. Devant le manque d'efficacité des attaquants français, c'est désormais David Trezeguet qui est au centre de toutes les attentions. Cantonné sur le banc, Domenech lui a préféré Vikash Dhorasoo pour les ultimes minutes. Alors qu'Henry s'est souvent retrouvé en position de centreur, le buteur de la Juventus aurait pu être d'une aide précieuse. Mais le sélectionneur n'est pas du genre à se laisser influencer.





     

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