| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://sportsactus.vip-blog.com


SPORTS - ACTUS
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 284 articles publiés
  • 14 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Accueil ] [ Football ] [ Sports motorisés ] [ Hockey sur glace ] [ Cyclisme ] [ Tennis ] [ Autres ] [ Photos ]

     

    Coupe du monde 2006

    14/06/2006 11:37



    Müller: "Un match capital" 

    Müller: "Un match capital"

    Plus d'infos

    Le Suisse Patrick Müller retrouve la France et ses coéquipiers Lyonnais pour un match qu'il estime "capital" mais "pas décisif". Après deux défaites et deux nuls, le défenseur veut s'inspirer du match de Berne pour bousculer les Bleus et viser les quarts de finale.

    PATRICK MULLER, quel est votre sentiment après la qualification de la Suisse pour le Mondial ?

    P.M. : Après l'Euro-2004, se qualifier avec la manière pour le Mondial, même si nous avons tous en tête ce dernier match de barrages en Turquie (ndlr: conclue par de violents incidents entre joueurs), est une grande satisfaction. C'est extraordinaire. Nous sommes restés invaincus au cours des éliminatoires dans un groupe difficile avec la France et l'Irlande, et en demeurant quasiment toujours en tête du classement. Nous aurions pu passer directement mais nous n'avons pu nous imposer à Dublin lors du dernier match.

    On dit que la "Nati" n'a jamais été aussi forte que cette année...

    P.M. : J'ai connu plusieurs générations mais, au regard de la quantité de joueurs de qualité, c'est sans doute vrai. Il y a de la concurrence, des jeunes qui arrivent. Lorsque j'ai débuté en sélection, ce n'était pas la même chose. L'équipe n'a plus de complexes, c'est un gros progrès par rapport à ces dernières années. Les jeunes apportent de l'insouciance et l'idée que nous ne sommes pas moins forts que les autres. Toutefois, il ne faut pas s'enflammer. En Suisse, on attend beaucoup de cette équipe au Mondial. Nous sommes dans la continuité avec l'Euro-2008 organisé dans notre pays. Nous sommes en train de bâtir quelque chose et, dans quelques années, la Suisse sera une très grande nation du football.

    Quelles sont les forces et faiblesses de la sélection ?

    P.M. : La faiblesse, c'est une certaine inexpérience, avec des jeunes qui arrivent. Mais ils ne se posent pas de questions, et leur culot et leur absence de complexes, c'est aussi une force. L'entraîneur Kobi Kuhn a réussi à créer une unité, un esprit de famille. Il y a bien sr des affinités au sein de chaque groupe linguistique mais, sur le terrain, tout est oublié.

    Quelle ambition peut avoir la Suisse dans ce Mondial ?

    P.M. : L'ambition est claire. Elle est de franchir le premier tour et pourquoi pas aller jusqu'en quart de finale. Nous sommes dans un groupe avec des interrogations. La France est favorite mais, pour la deuxième place, cela reste assez ouvert. Le premier match contre les Français sera capital même s'il ne sera pas décisif. Dans un mini-championnat, bien débuter par un bon résultat est important. Ensuite, la Corée du Sud avec des joueurs petits et vifs n'est pas forcément un adversaire qui convient à la Suisse alors que le Togo est l'inconnu. Les Togolais se sont qualifiés, ce n'est sans doute pas un hasard mais ils restent sur un échec en Coupe d'Afrique.

    Quelle est votre opinion sur l'équipe de France ?

    P.M. : A chaque poste, la France possède des joueurs qui individuellement font partie des meilleurs du monde. Au plan collectif, on sait que, s'ils sont un peu moins bien, il y a des possibilités. Nous l'avons vu surtout au match retour à Berne. Nous avons concédé le nul (1-1), mais nous aurions mérité mieux au vu de la rencontre. Nous avions réussi à bousculer les Français. Il faudra s'inspirer de ce match au Mondial pour essayer de l'emporter enfin. Nous restons sur deux défaites, à l'Euro-2004 et en amical, et deux nuls lors des éliminatoires. Si cela tourne bien collectivement, l'équipe de France peut aussi être un futur vainqueur du Mondial ou en tout cas se positionner parmi les grands favoris.


    Les Bleus en questions

    Les Bleus en questions

    Plus d'infos

    Le jour de l'entrée en lice de l'équipe de France face à la Suisse, petit tour d'horizon des dernières interrogations tournant autour de la galaxie bleue. Si les Tricolores sont montés en puissance tout au long de leur préparation et semblent sur la bonne voie, quelques questions subsistent.

    HENRY AU TOP ? : Thierry Henry semble avoir encore passé un cap cette année. Définitivement décomplexé sur le plan européen puisqu'il a atteint la finale de la Ligue des Champions avec Arsenal, le deuxième buteur de l'histoire des Bleus (33 buts) s'est montré très en jambes durant les matches de préparation. N'hésitant pas à redescendre côté gauche pour aller chercher les ballons et accélérer, le Gunner imprime de plus en plus son tempo au jeu tricolore. Ajoutez à cela que son entente avec Zidane a été probante face à la Chine...

    ZIDANE A 100 % ? : A l'orée de sa dernière sortie, Zinedine Zidane est ultra-motivé et se sent de mieux en mieux. Très juste face au Mexique, le Ballon d'Or 1998 a prouvé face à la Chine (3-1) que son niveau physique évoluait favorablement. Les passes, les accélérations et les dribbles du maître ont été plus tranchants. A Francfort, on peut donc espérer le meilleur pour les Bleus et... le pire pour l'équipe de Suisse.

    RIBERY PEUT-IL GERER? : Le public et les fans de l'équipe de France le réclamaient. Raymond Domenech a entendu l'appel du peuple en alignant le Marseillais d'entrée face à la Suisse. Mais le statut de joker de luxe n'est pas le même que celui de titulaire. Entrer pour débloquer une situation ne requiert pas le même état d'esprit que débuter une rencontre. Franck Ribéry va être scruté, observé et gageons que les Suisses du championnat de France auront prévenu leurs partenaires du danger. En clair, il est attendu et aura cette fois un peu plus de pression que d'habitude.

    QUEL VIEIRA FACE A LA SUISSE ? : Mal à l'aise sur son côté droit lors des matches amicaux , Patrick Vieira va sans doute retrouver le sourire et ses marques face à la Suisse. Etant donné que l'équipe de France est partie pour repasser en 4-2-3-1, le Turinois va retrouver sa place de milieu défensif axial aux côtés de Claude Makelele. Un réajustement tactique qui va peut-être donner raison à Raymond Domenech lorsqu'il affirme que "Patrick Vieira sera l'un des joueurs forts de la Coupe du monde" . Début de réponse au Gottlieb-Daimler Stadion.

    LE PHYSIQUE DES BLEUS : Dirigée par Robert Duverne, la préparation de l'équipe de France est allée crescendo et semble porter ses fruits. Après le stage d'oxygénation de Tignes, les Français étaient fatigués et avaient peiné face au Mexique (1-0). A l'image de Zinedine Zidane qui est monté en puissance au fil de ses sorties, la suite a été plus convaincante face au Danemark (2-0) et à la Chine (3-1). On peut donc imaginer que l'équipe de France sera au point à Stuttgart.

    L'ENTENTE THURAM - GALLAS : Associés en défense centrale depuis trois rencontres, Lilian Thuram et William Gallas se trouvent de mieux en mieux. Malgré des profils semblables, le Turinois et le Londonien forment une charnière solide qui a permis à Fabien Barthez de connaitre trois matches de préparation assez calmes. Cependant, Gallas assume que tout n'est pas encore parfait. "Je joue trop bas. Il faut encore régler ce problème.Pour pouvoir aider nos milieux de terrain, il faut qu'on soit un tout petit peu plus haut. Cela ne vient pas du jour au lendemain, il faut qu'on le travaille."


    Zidane : "1-0, ça me va"

    Zidane : "1-0, ça me va"

    Motivé, Zinédine Zidane s'attend à un match difficile face à la Suisse. Mais son ambition reste la même : gagner le Mondial avant de partir. Il espère d'ailleurs que sa dernière compétition sera surtout "un début" pour les Bleus. Zizou ose même un pronostic : 1-0 pour engranger de la confiance.

    ZINEDINE ZIDANE, comment vous sentez-vous à la veille de ce grand rendez-vous ?

    Z.Z. : On se sent bien. On s'est bien préparés. On attendait tous ce moment avec impatience et voilà, on y est. On est tous content de commencer la compétition. On l'aborde avec un très bon état d'esprit. Il y a une grosse ambiance. Je crois qu'on est prêt pour faire quelque chose de bien.

    Ressentez-vous une émotion particulière alors que vous débutez votre dernière compétition ?

    Z.Z. : Forcément... Pas spécialement là d'en parler, mais quand je rentrerai sur le terrain et à chaque fois que je rentrerai sur le terrain, je me dirai que ce sont des moments qui seront de plus en plus rares. Sur le terrain, j'arrive à la fin. Mais, justement, je suis content de pouvoir m'exprimer sur une grande compétition comme celle-là. Je suis motivé, ça c'est sûr. Après, le terrain c'est autre chose. On pense d'abord à ce match face à la Suisse. Après, on verra.

    Dans ce contexte, sentez-vous vos coéquipiers plus attentifs à votre égard ?

    Z.Z. : Autour de moi, rien ne se passe. C'est comme d'habitude. Ça me gênerait au contraire que ça se passe comme ça. On est tous préparés pour faire quelque chose de bien. On ne pense pas au fait que ce soit ma dernière. C'est plutôt un début pour les autres qu'une fin pour Zidane, pour Thuram et pour certains autres joueurs. J'espère vraiment que c'est plutôt le début de quelque chose qui va durer très longtemps.

    Quel souvenir gardez-vous de vos premiers matches en 1998 et 2002 ?

    Z.Z. : La première fois, en 98, ça reste un grand souvenir. C'était face à l'Afrique du Sud à Marseille (3-0). Donc ça reste mémorable car il y avait beaucoup de membres de ma famille et des amis. En plus, ça s'était super bien passé. Le deuxième, beaucoup moins bien puisque je m'étais blessé à la cuisse juste avant. Le seul où j'ai pu jouer, on a été éliminés... Mais, de toute façon, ça fait partie des souvenirs d'une carrière. Il y a des bons moments et des moments plus difficiles. Je suis heureux de pouvoir terminer par une deuxième compétition comme celle-ci et de pouvoir terminer par ça.

    Peut-on comparer ce match au France-Angleterre de l'Euro 2004 où il fallait impérativement gagner ?

    Z.Z. : Oui, c'est sûr. C'est très important. Pour moi, le plus important est de bien rentrer dans une compétition. On sait très bien que ça permet d'engranger beaucoup de confiance et de choses positives pour l'équipe. C'est forcement primordial. On en est tous conscient. Ça va être un match très difficile parce qu'il y aura en face une équipe qui voudra aussi gagner, qui voudra aussi faire une bonne prestation. Mais, nous, on va essayer de bien jouer pour remporter ce match.

    Comment voyez-vous le Mondial pour les Bleus ?

    Z.Z. : Ça va être difficile. On s'aperçoit qu'on n'est plus en 1970 ou 1980 quand les meilleures équipes battaient toujours les équipes plus faibles. Il n'y a plus de petites équipes. Il y a simplement des matches difficiles à jouer et on va essayer de ne pas tomber dans le panneau. On va jouer en conséquence. Moi, ça me va de gagner 1-0 (mardi), pas de souci.

    Trouvez-vous injustes les critiques des médias vis-à-vis de l'équipe de France ?

    Z.Z. : Oui, je les trouve toujours injustes parce que ça n'est pas objectif. C'est leur métier. Je ne veux pas rentrer dans ce débat. Forcement, il y a des choses sur lesquelles on n'est pas d'accord. Il y a certaines choses que l'on voit ou que l'on entend et qui sont désagréables juste avant une grande compétition. Mais c'est ce qui s'était passé en 1998, c'était même pire ! Moi, j'ai envie de penser à ça et j'espère qu'on aura le même sort à l'arrivée. En 2002, c'était le contraire. Peut-être de notre part aussi, je ne sais pas.

    L'ambiance dans le groupe est-elle différente par rapport à 2002?

    Z.Z. : Il n'y a pas de différence. L'état d'esprit est là, on a envie de faire quelque chose de bien. Je n'ai pas envie de faire des différences. Ce serait se faire mal à la tête pour rien du tout. Moi, j'ai juste envie de penser à ce qui arrive. Point. On est tous préparés pour faire une grande compétition. On doit la faire. On doit se dire que si on veut aller au bout, il faudra faire quelque chose d'exceptionnel et se bouger tous ensemble. C'est tout, il n'y a pas d'autres mots. Je n'ai pas envie de discuter des différences entre 2002, 2004 ou 2006...

    On a l'impression que vous avez pris Franck Ribéry sous votre aile...

    Z.Z. : Non, je ne le prends pas spécialement sous mon aile. Tout le monde l'a bien accepté. On s'aperçoit que c'est quelqu'un qui respire la joie de vivre et qui, sur le terrain, la communique aux autres. Comme moi, toute l'équipe l'a fait. Ensuite, qu'il joue à Marseille ou autre chose, on peut dire beaucoup de choses... Il ne calcule pas, ne se pose pas de question et il joue comme il sait le faire. Et comme il est bon, parce qu'on peut jouer comme on l'entend sans que ça fonctionne... Mais il a ce truc. Il est très fort. Il amène ce côté positif à l'équipe.

    Il peut faire du bien à l'équipe de France avec sa fraîcheur ?

    Z.Z. : Ce qu'il fait ne me surprend pas. Je l'ai déjà vu évoluer. Il démontre qu'il est bon à chaque prestation. Il peut fait plus que du bien à l'équipe de France. Mais, au-delà de ça, c'est quelqu'un qui marquera les esprits à chaque fois qu'il sera sur un terrain. Il deviendra quelqu'un de grand dans le foot.



    Un mot sur la Suisse...

    Z.Z. : C'est une très bonne équipe, qui ne se pose pas de questions, qui joue et qui a des très bons éléments dans ses rangs. On a vu les images de leurs derniers matches, il n'y a pas grand chose à dire. On a beaucoup joué contre eux. Ce n'est plus l'équipe de Suisse d'il y a dix ans, elle a fait beaucoup de progrès. C'est une équipe surprenante. C'est pour ça que l'on sait que l'on aura une équipe difficile à jouer face à nous. Moi, le 1-0 me suffirait.





     

    Début | Page précédente | 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact sportsactus ]

    © VIP Blog - Signaler un abus