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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
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    Coupe du Monde 2006

    02/07/2006 07:23



    La preuve par deux

    La preuve par deux

    Plus d'infos

    Deux ans après le quart de finale de l'Euro, le Portugal a une nouvelle fois éliminé l'Angleterre lors de la séance des tirs au but (0-0, 3-1 t.a.b). Les Anglais ont été réduits à dix en seconde période après l'expulsion de Wayne Rooney pour un mauvais geste sur Ricardo Carvalho.

    ANGLETERRE - PORTUGAL : 0-0 (3 tab à 1)

    Une fois sans les gants. Une fois avec. Toujours Ricardo. Le Portugal n'a sans doute pas le football le plus flamboyant de ce Mondial et manque cruellement d'ambition - alors que Scolari compte des joueurs d'exception dans ses rangs - mais a un grand gardien de but en la personne de Ricardo. Deux ans après avoir joué le rôle du bourreau aux mains nues, le portier avait remis ses gants à Gelsenkirchen et le résultat a été le même. Auteur de trois parades, le gardien du Sporting Portugal a renvoyé l'Angleterre à ses démons (0-0, 3 tab à 1). Défaits à cinq reprises depuis 1990 lors des séances de tirs au but, les Three Lions ont une nouvelle fois cédé au moment crucial. Quarante ans après, l'Angleterre ne sera pas championne du monde. Le Portugal, lui, jouera sa deuxième demi-finale mondiale. Quarante ans après...

    Première période : Le risque zéro

    Sans Deco mais avec Cristiano Ronaldo, remis de sa blessure à la cuisse, les Portugais mettent quelques minutes à entrer dans le match. Durant les dix premières minutes, les Anglais jouent à leur rythme et c'est tout à fait logiquement que Wayne Rooney se charge du premier tir dangereux de la partie (9e). S'ensuivent cinq minutes portugaises avec un tir de Ronaldo (10e) et une situation dangereuse en faveur de Tiago (13e). A chaque fois, Paul Robinson s'empare du cuir.

    C'est quasiment la dernière "occasion" de la première période. La suite est très décevante et bien loin de ce que les deux équipes avaient montré en quart de finale du dernier Championnat d'Europe. Les passes latérales succèdent aux passes latérales et John Terry termine les quarante-cinq premières minutes avec le titre honorifique et inutile de joueur ayant touché le plus de ballons (40). Preuve que quelque chose ne tourne pas rond.

    Finalement, il faut attendre les dernières minutes de l'acte initial pour voir Robinson réussir une parade sur une tête de Tiago... non cadrée (41e). Ricardo n'est pas en reste puisqu'il bloque avec autorité le dix-neuvième tir de la Coupe du monde de Frank Lampard (45e). Anglais et Portugais semblent se réveiller. Dommage que M. Elizondo soit obligé de siffler la mi-temps.

    Seconde période : Les larmes de Beckham

    David Beckham en larmes. L'image est marquante. Dès la 52e minute, le capitaine anglais doit laisser sa place à Aaron Lennon. Le jeune Anglais entre dans le match avec plein de bonnes intentions. Si les Portugais ne se livrent absolument pas et restent plantés aux abords de leur surface de réparation, les champions du monde 1966 commencent à montrer autre chose. Lennon réussit un slalom spécial côté droit, mais une mésentente avec Wayne Rooney prive le onze de Sa Majesté de l'ouverture du score (58e).

    Malheureux, l'attaquant de Manchester United va l'être un peu plus quelques minutes plus tard. A la lutte avec Ricardo Carvalho, "Roonaldo" s'énerve, écrase l'entre-jambes du Portugais et bouscule Cristiano Ronaldo. Carton rouge direct (62e). Luiz Felipe Scolari en profite pour faire entrer Simão à la place de... Pauleta (63e). A onze contre dix, les Portugais se privent de leur seul buteur. Allez comprendre.

    Sven-Goran Eriksson décide lui de lancer Peter Crouch dans l'arène (65e). Le longiligne attaquant se met rapidement en valeur sur une touche longue de Gary Neville (66e). En face, rien à signaler puisque Cristiano Ronaldo devient un avant-centre de fortune qui n'offre pas de point d'appui satisfaisant. Du coup, les vice-champions d'Europe frappent de loin. Par Maniche (76, 85e, 90e). Le Portugal manque d'ambition dans son football. Et n'est pas loin de le regretter sur une ultime poussée british. Monté sur un corner, John Terry a la balle de match au bout du pied. Mais frappe au dessus (90+1).

    Prolongation : Rien n'y fait...

    Comme lors d'Allemagne-Argentine, la prolongation ne sert à rien. Dix Anglais font meilleure impression que onze Portugais manquant cruellement d'imagination. Après un sauvetage inespéré de Miguel devant les 198 centimètres de Peter Crouch (99e) et un but justement refusé à Helder Postiga pour un hors-jeu préalable (108e), on passe aux tirs au but. La suite on la connaît. Lampard, Gerrard et Carragher, trois joueurs des plus expérimentés, craquent. L'Angleterre tombe. Deux ans après la déception de l'Euro, le Portugal est sur la voie d'une sacrée consolante.

    L'HOMME DU MATCH : RICARDO (Portugal)

    Dans un match comme celui-là, le titre honorifique de meilleur joueur ne pouvait lui échapper. Solide durant les 120 minutes, Ricardo n'a pas manqué de faire parler son talent durant la séance des tirs au but. Sur quatre tentatives anglaises, le gardien du Sporting Portugal a sorti le grand jeu à trois reprises. Face à Lampard, Gerrard et Carragher. Ajoutez à cela qu'il a dévié la frappe d'Owen Hargreaves. Bref, il aurait pu s'offrir un Grand Chelem. Mais se satisfera bien de ce qu'il a réussi aujourd'hui.


    "Nous pouvons le faire" 

    Klinsmann : "Nous pouvons le faire"

    Plus d'infos

    Tombeuse de l'équipe d'Argentine, l'Allemagne est en demi-finale de la Coupe du monde. Même lors de la séance de tirs au but, Jürgen Klinsmann n'a jamais véritablement tremblé. Pour l'ancien attaquant de Monaco, le titre de champion du monde est est largement à la portée de ses joueurs.

    JÜRGEN KLINSMANN, jusqu'où peut aller l'équipe d'Allemagne ?

    J. K. : Nous sommes très fiers de cette équipe et de ce qu'elle a fait. Il y avait cinq joueurs de moins de 21 ans sur le terrain vendredi. Nous sommes en plein développement, c'est formidable ce que nous avons mis en place depuis deux ans. Le match a été difficile, mais je crois que cette victoire était méritée, nous nous sommes créé les meilleurs chances et avons fait preuve d'endurance et force mentale. Cette équipe qui croit en elle tout le temps, envoie un message fort: elle peut être championne du monde.

    Avez-vous redouté la séance des tirs au but, un exercice difficile que l'Allemagne maîtrise pourtant très bien ?

    J. K. : C'est étrange, mais nous n'avons jamais eu l'impression que nous ne pouvions pas gagner ce soir même quand nous étions ménés 1-0. On savait qu'on allait revenir au score, on savait aussi que la séance des tirs au but pouvait nous sourire. Nous avions déjà nos tireurs en tête, il fallait juste définir l'ordre de passage de chacun, Torsten Frings était le cinquième et il a eu la chance de ne pas avoir à tirer grâce aux deux arrêts de Jens Lehmann. Nous étions sûr de nous, si nous avions d aller au 7e ou 8e tireur, nous aurions pu nous imposer à l'issue de ce match palpitant et crispant.

    Après avoir été si souvent critiqué depuis deux ans, éprouvez-vous une satisfaction particulière, voire un sentiment de vengeance, après cette qualification pour les demi-finales ?

    J. K. : Je n'ai aucune satisfaction d'avoir pris telle ou telle mesure, d'avoir préféré Jens Lehmann à Oliver Kahn par exemple. Le gagnant ce soir, c'est à la fois Kahn et Lehmann, c'est toute l'équipe. Nous avons encore une équipe jeune et ils se sont un peu précipités en première période: on leur a dit simplement à la mi-temps: 'C'est normal de rater des passes, il n'y a pas de problème'. Et tout est rentré dans l'ordre. Tout le monde veut aller de l'avant, tout le monde progresse de match en match et c'est ce qui est important dans un tournoi. Il y a encore deux matches difficiles devant nous et nous voulons les gagner.





     

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