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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
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    Coupe du Monde 2006

    27/06/2006 18:49



    L'Italie sur la ligne 

    L'Italie sur la ligne

    Plus d'infos

    Réduite à dix face à l'Australie, l'Italie s'est qualifiée sur le fil pour les quarts de finale de la Coupe du monde grâce à un penalty généreux accordé dans les arrêts de jeu (1-0). Les Australiens pourront regretter de ne pas avoir bougé les Transalpins en seconde période.

    ITALIE - AUSTRALIE : 1-0
    But : Totti (90e+4, sp)

    Guus Hiddink n'a plus la main. Quatre ans après avoir réussi l'exploit de sortir l'Italie avec la Corée du Sud, le technicien batave a dû baisser pavillon face à la Squadra Azzurra. A l'italienne, les Transalpins ont pris leur revanche sur le sort. De manière cruelle pour des Australiens qui auront disputé quasiment la moitié du match en supériorité numérique. Mais pour avoir craint l'Italie et sa réputation, les Aussies sont finalement tombés sur un penalty de dernière seconde, sifflé alors que tout le monde avait la tête à la prolongation. Dans l'affaire, l'Italie a glané son ticket pour les quarts. Elle a également gagné trente minutes de repos supplémentaires. Loin d'être superflus alors que les choses sérieuses vont bientôt commencer.

    Première période : L'Australie part bien

    Pour leur première apparition en huitièmes de finale de la Coupe du monde, les Australiens se montrent nullement impressionnés, ni par l'événement, ni par l'Italie. Et les Aussies prennent la direction des opérations. Privés - volontairement - du ballon, les Transalpins n'en sont pas moins dangereux. Sur un premier centre ajusté de Del Piero, Toni reprend de la tête aux six mètres mais ne trouve pas le cadre (3e). Ce même Toni est à la réception d'une longue ouverture de Pirlo. D'un pivot, il se remet en position de frappe et trouve un Schwarzer bien inspiré sur sa route (22e).

    Pour voir Gigi Buffon à l'oeuvre, il faut patienter jusqu'à la demi-heure de jeu et une reprise de Chipperfield. Sorti de sa défense, l'Aussie reprend du droit et force le portier de la Juventus à se coucher (30e). Il n'aura plus rien à faire en première période. Mark Schwarzer ne sera plus inquiété non plus. Jusqu'à la pause, les deux équipes campent sur leurs positions. L'Australie continue de faire le jeu. Les Italiens jouent long et en contres. Si le score reste à 0-0 au coup de sifflet de M. Medina Cantalejo, les Transalpins semblent sur la bonne voie.

    Seconde période : Totti venge Materazzi

    Malheureusement pour les triples champions du monde, une décision plus que discutable coupe leur élan au retour des vestiaires. Auteur d'un tacle illicite sur Bresciano, Materazzi reçoit un carton rouge direct (51e). Dur et même injuste puisque l'Interiste n'était pas en position de dernier défenseur. Marcello Lippi est alors obligé de faire sortir Luca Toni et de lancer Andrea Barzagli dans l'arène de Kaiserslautern (55e). Quatre ans après le cauchemar coréen, les Italiens sont en train de plonger dans un songe très sombre.

    A neuf derrière et le seul Iaquinta balayant le front, la Squadra Azzurra ne visite que rarement la surface de réparation océanienne. Mis à part une frappe de Chipperfield sur laquelle Buffon répond une nouvelle fois présent (58e), les hommes de Guus Hiddink sont guère plus dangereux. Manque d'ambition ou crainte du contre fatal ? Qu'importe. Le résultat est le même. Et l'entrée de Francesco Totti à la place d'Alessandro Del Piero (75e) n'est pas pour rassurer les troupes australiennes. Finalement, et au bout de l'ennui, les deux équipes semblent s'en remettre à la prolongation.

    Pourtant, sur une dernière poussée, Fabio Grosso prend son couloir gauche, repique dans la surface et vient se heurter à Lucas Neill. L'arbitre n'hésite pas et s'offre un penalty à l'Italie. Entré en jeu moins de vingt minutes auparavant, Totti se prépare, s'élance et trompe Schwarzer d'une frappe croisée (1-0, 93e). Marcello Lippi et compagnie exultent. L'Italie est aux anges. Et surtout en quarts de finale où la Squadra Azzurra affrontera le vainqueur de Suisse-Ukraine. L'expérience sera une nouvelle fois du côté des Italiens...

    L'HOMME DU MATCH : Fabio Cannavaro (Italie)

    Capitaine courageux d'une équipe d'Italie qui a souffert avant de faire la différence, Fabio Cannavaro a été impérial en défense centrale. Même lorsque Marco Materazzi a été expulsé, le joueur de la Juventus Turin s'est montré intraitable et n'a laissé que peu d'espaces à Mark Viduka et compagnie. Pour preuve, ses statistiques personnelles sont impeccables : 37 ballons joués pour une seule perte de balle et 8 récupérations.

    LA DECLA: Marcello Lippi (Italie)

    "Nous ne craignions pas d'être éliminés. Nous savions qu'il y avait toujours la possibilité de jouer la prolongation ou d'arriver aux tirs au but. Nous n'avions pas peur de l'Australie. Mais les Australiens ont joué avec beaucoup de coeur. Nous avons eu la maîtrise en première période au cours de laquelle nous avons eu quelques occasions. En seconde période, à 10 contre 11, c'était plus dur pour nous. Materazzi m'a dit que le carton rouge était un peu sévère. Mais nous sommes passés et je suis très heureux.

     


    L'Ukraine au paradis 

    L'Ukraine au paradis

    L'Ukraine s'est qualifiée pour les quarts de finale de la Coupe du monde 2006 aux dépens de la Suisse (0-0, 3 tab à 0). Une victoire acquise au terme d'un match des plus fermés. Au prochain tour, les hommes d'Oleg Blokhine affronteront la Squadra Azzurra.

    SUISSE - UKRAINE : 0-0 (0 tab à 3)

    Annoncé comme le huitième le plus ouvert, le match Suisse-Ukraine s'est refermé comme une huitre dès les premières minutes. Après 120 minutes d'ennui où les occasions se sont comptées sur les doigts d'une main, les tirs au but, les premiers de cette Coupe du monde, sont venus logiquement mettre fin au calvaire des spectateurs. Et comme souvent dans ces cas-là, c'est un gardien de but qui devient le héros du match. Olegsondr Shovchovskyi offre à l'Ukraine une qualification inespérée en quart de finale grâce à deux arrêts. La Suisse, elle, quitte l'Allemagne sans avoir encaissé le moindre but. Une statistique qui ne consolera pas la Nati.

    Première période: Tout le monde touche du bois

    Il fallait s'y attendre. La Suisse et l'Ukraine aiment jouer en contre. Dès le début de la partie, les deux équipes font comprendre aux spectateurs qu'ils n'auront pas grand chose à se mettre sous la dent. Les Ukrainiens, sans doute échaudés par leur claque de début de mondial face à l'Espagne (4-0), mais aussi minés par les nombreuses absences dans la défense, ne prennent pas de risque. Les Suisses sont donc obligés de prendre le jeu à leur compte. Wicky tente sa chance en premier d'un tir de 20 mètres et oblige Shovchovskyi à se détendre (13e). Les deux équipes, tendues par l'enjeu, ont du mal à se découvrir.

    La première alerte intervient donc logiquement sur coup de pied arrêté. Sur un coup franc venu de la gauche, Shevchenko place une tête plongeante et piquée que la barre de Zuberbühler renvoie (20e). La Suisse va répondre dans la minute par Alexander Frei. De 25 mètres, l'attaquant de Rennes trouve la transversale de Shovchovskyi (21e). Et puis, c'est le vide. Jusqu'à la pause. Rien de transcendant, à peine quelques débordements sans conséquence. Seul "évènement", le remplacement dans l'équipe suisse du défenseur central Johann Djourou par l'expérimenté Stéphane Grichting (33e).

    Seconde période: Rien à signaler...

    Au retour des vestiaires, les Ukrainiens reviennent avec un peu plus d'entrain. Juste le temps que Voronin place une tête de peu à côté (48e). Car le bloc suisse est bien regroupé et il n'y a rien d'étonnant à ce que la Nati ait la meilleure défense de cette Coupe du monde. Shevtchenko tente un tir lointain mais ne cadre pas (68e). Capable du meilleur comme du pire depuis le début de l'épreuve, l'Ukraine montre cette fois son moins bon visage. A l'image de Goussev qui ne cadre pas non plus sa tête (75e), les hommes de Blokhine ont du mal à inquiéter Zuberbühler. Deux tirs cadrés au total sur neuf, c'est bien peu pour espérer ouvrir le score.

    Les Suisses ne font pas mieux avec cinq tentatives cadrées sur une douzaine de tirs. Les Helvètes ne parviennent même pas à se créer la moindre petite occasion de but dans cette seconde période. Tranquillo Barnetta et Johann Vogel ont beau s'activer, et Kuhn faire entrer Streller à la place de Yakin, rien n'y fait. Le public du RheinEnergie stadion de Cologne gronde devant le piètre spectacle offert par deux équipes qui n'attendent qu'une seule chose, les prolongations. Elle les auront.

    Prolongation

    La Suisse retrouve finalement un second souffle. Barnetta trouve Frei dans la surface mais l'attaquant rennais n'arrive pas à se mettre en position de tir (96e). Quelques minutes plus tard, Vogel, lui, parvient à armer sa frappe mais Shovchovskyi sort le grand jeu (101e). La seconde prolongation permet aux deux entraîneurs d'effectuer leurs derniers changements en vue des tirs au but. Etonnement Frei est remplacé par Lustrinelli. Voronin cède sa place à Milevskyi côté ukrainien.

    Bonne pioche de Blokhine puisque le vice-champion d'Europe Espoirs est le premier à marquer son penalty juste derrière des ratés de Shevchenko et de Streller. Barnetta, pourtant auteur d'un bon match trouve la barre de Shovchovskyi. L'expérimenté Rebrov se charge d'inscrire le tir du 2-0 avant que Cabanas ne bute lui aussi sur le gardien ukrainien. Trois tentatives suisses, trois échecs. Goussev n'a plus qu'à marquer pour envoyer l'Ukraine au paradis. Il ne tremblera pas...

    L'HOMME DU MATCH: Olegsondr Shovchovskyi (Ukraine): Evidemment, en arrêtant deux tirs au but, Olegsondr Shovchovskyi a qualifié son équipe, ce qui suffit à lui attribuer cette distinction. Mais le gardien du Dynamo de Kiev, pas toujours rassurant sur ses sorties aériennes, a aussi exécuté deux arrêts importants. Le premier devant Wicky à la 13e puis un autre devant Vogel à la 101e. Et comme il faut toujours un peu de chance, sa barre transversale l'a aidé par deux fois. Sur le coup franc de Frei (21e) et sur le penalty de Barnetta. La belle histoire, c'est que le portier de 31 ans revient de loin. Il s'était brisé une clavicule en amical en janvier avant de revenir sur les terrains à la mi-avril.

    LA DECLA: Andrei Shevchenko (Ukraine): "C'est un grand jour pour l'équipe et pour l'Ukraine. Je suis très heureux pour le peuple ukrainien. Nous avons montré beaucoup de coeur et il y avait sur le terrain des joueurs qui ont réussi une performance héroïque (...) Notre gardien a été brillant. Contre l'Italie, cela sera un très grand match. Ils appartiennent aux grands de ce Mondial. L'Italie sera évidemment favorite mais je suis sûr que si nous donnons tout, nous pouvons les battre".

     





     

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