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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
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    Coupe du Monde 2006

    01/07/2006 16:20



    L'Allemagne rêve encore

    L'Allemagne prolonge le rêve

    Plus d'infos

    A l'issue d'un match tendu et longtemps dominé par les Argentins, l'Allemagne est parvenue à l'emporter aux tirs au but (1-1, 4 tab à 2). La Nationalmannschaft peut remercier Jens Lehmann, qui a stoppé deux tentatives sud-américaines, et poursuit sa route vers le titre suprême.

    ALLEMAGNE - ARGENTINE : 1-1 (4 tab à 2)
    Buts : Klose (80e) pour l'Allemagne, Ayala (49e) pour l'Argentine

    Uwe Stielike est toujours seul. Au Panthéon des joueurs allemands ayant manqué un tir au but, l'ancien de la Mannschaft trône toujours tout en haut. Et, aujourd'hui, en est certainement très heureux puisque l'Allemagne version 2006 s'est qualifiée pour les demi-finales de sa Coupe du monde à l'issue de la séance des tirs au but (1-1, 4 tab à 2). Si Neuville, Ballack, Podolski et Borowski n'ont pas tremblé, Ayala et Cambiasso sont tombés sur Jens Lehmann. Une déception immense pour les Argentins. D'autant que longtemps dominateurs, les Sud-Américains auraient pu se mettre à l'abri et donner à l'égalisation de Klose un caractère tout anecdotique. Il en fut autrement. C'est bien connu, les Allemands gagnent toujours à la fin.

    Première période : L'Allemagne surpassée

    Pour la première fois depuis le début du Mondial, la jeune Allemagne semble tendue. Conscients de l'enjeu et face à une Argentine plus expérimentée, les joueurs de Jürgen Klinsmann sont pris dans l'étau. Le stress se traduit par des fautes et un premier carton jaune pour Lukas Podolski (3e). L'attaquant est aussi l'auteur de la toute première frappe du match sur coup franc. Sans danger apparent, son tir donne pourtant quelques sueurs froides à Abbondanzieri (7e).

    L'Albiceleste ne se crée aucune occasion mais la toile est tissée. Jeu court, jeu long, les hommes de José Pekerman, avec Carlos Tevez en lieu et place de Javier Saviola, alternent à merveille et Juan Pablo Sorin est plus ailier gauche que latéral. Son alter ego allemand Philipp Lahm est bien moins offensif qu'à l'accoutumée et le côte gauche, point fort des triples champions du monde, en pâtit. Du coup, c'est du flanc de Bernd Schneider que vient le danger. Et c'est sur l'un de ses centres que Michael Ballack place une tête dangereuse. Mais non cadrée (16e).

    Le capitaine tente d'appeler à la révolte mais ses jeunes partenaires semblent parfois se cacher. Les Sud-Américains eux ne se cachent pas et tiennent le ballon 65% du temps. Mais n'inquiètent pas Jens Lehmann. En quarante-cinq minutes, pas une frappe. Seuls quelques mouvements comme cette ouverture de Riquelme à direction de Tevez, finalement coupée par Lahm (33e), viennent perturber le quatuor défensif de la Mannschaft. Pourtant, dès que le jeu s'accélère, le danger est là.

    Seconde période : Klose ce sauveur

    Au retour des vestiaires, les Argentins calquent leur entame sur celle du début de la rencontre. Si Sorin écope d'un carton jaune le privant d'une éventuelle demi-finale (46e), le capitaine de l'Albiceleste va rapidement oublier ce coup du sort. Sur un corner de Riquelme, il voit Roberto Ayala passer devant Miroslav Klose et battre Jens Lehmann d'un coup de tête imparable (0-1, 49e). Pour la première fois du tournoi, l'Allemagne est menée au score. Logiquement. Dos au mur et encouragés par un stade Olympique assourdissant, les Allemands ne parviennent pas à se lâcher. Klose-Podolski ne sont pas alimentés. Mais l'Argentine recule. Un tort.

    Dans un premier temps, les doubles champions du monde n'ont aucun problème à contenir les offensives allemandes. Seul souci, Abbondanzieri se blesse sur une sortie aérienne improbable et doit laisser sa place à Leo Franco (72e). Son premier ballon sur une frappe de l'entrant Tim Borowski, le remplaçant le capte avec difficulté (77e). Le deuxième, le portier le verra entrer dans son but malgré un plongeon désespéré. Sur un centre de Ballack, Borowski remet du crâne vers l'inévitable Miroslav Klose. D'une tête ajustée, le meilleur buteur du Mondial égalise (1-1, 80e). Fatigué, l'homme aux dix réalisations en Coupe du monde (5 en 2006) peut laisser sa place. Et suivre la prolongation du banc de touche.

    Prolongation : Plus rien dans les chaussettes

    Quand Lubos Michel siffle le coup d'envoi de trente minutes de rab, les vingt-deux acteurs n'ont plus grand chose dans les chaussettes. A l'image d'un Michael Ballack exténué et qui laissera ses partenaires durant quelques minutes, les joueurs sont dans le dur. Et mis à part un centre-tir involontaire de Coloccini qui va s'écraser sur le haut de la barre transversale de Jens Lehmann (115e), il n'y a pas grand chose à signaler.

    Peu inspiré sur ce coup, le portier de la Nationalmannschaft le sera beaucoup plus lors de la séance des tirs au but. Comme ses prédécesseurs Harald Schumacher et Bodo Illgner, Jens Lehmann s'inscrit dans la lignée des sauveurs de la nation en repoussant deux frappes. Héros du jour, le Gunner a peut-être fait gagner plus qu'un simple match à ses jeunes coéquipiers. En plus de deux heures de présence sur la pelouse de Berlin, Lahm, Podolski et compagnie ont pris quelques mois de bouteille...

    L'HOMME DU MATCH : Jens Lehmann (Allemagne)

    S'il a pris un but sur la première frappe cadrée des Argentins, Jens Lehmann n'a pas démérité sur l'ensemble du match et est devenu héroïque lors de la séance des tirs au but. Du haut de ses bientôt 37 ans, le Gunner a stoppé deux tentatives argentines, celles de Roberto Ayala et Esteban Cambiasso. Deux mois après avoir mis en échec Riquelme en Ligue des Champions, le gardien allemand se positionne en bourreau officiel des joueurs argentins.

    LA DECLA : Miroslav Klose (Allemagne)

    "Cela a été très dur, nous n'avions pas beaucoup de soutien du milieu de terrain et nous n'avons pas eu beaucoup d'espace. Cela a mieux fonctionné en seconde période. Nous sommes peut-être un peu chanceux dans la séance des tirs au but mais le match a été un sommet. Je me suis fait mal sur le choc avec le gardien adverse et j'ai eu ensuite une crampe au mollet. Cela ne servait à rien de vouloir continuer à jouer et j'ai été remplacé".


    Impitoyable Italie 

    Impitoyable Italie

    Plus d'infos

    Très réaliste, l'Italie s'est qualifiée pour les demi-finales en écrasant l'Ukraine au terme d'une partie pourtant très équilibrée (3-0). Zambrotta a ouvert la marque d'entrée avant que Toni, muet jusque-là, n'inscrive un doublé pour conclure le match. La Squadra Azzurra affrontera donc l'Allemagne.

    ITALIE-UKRAINE: 3-0
    Buts: Zambrotta (6e), Toni (59e, 69e)

    Le même refrain, inlassablement. "À l'italienne". Souvent dominée, parfois au bord de la rupture, la Squadra Azzurra sait tenir le choc. Et ne pas gâcher ses opportunités. Face à l'inexpérimentée formation ukrainienne, le savoir-faire transalpin a encore fait des merveilles. Ce soir, Totti et consorts n'ont pas attendu les ultimes secondes du match et un pénalty providentiel. Ils ont utilisé le "plan B": marquer rapidement et défendre avec acharnement. Cela a payé. L'Italie n'a pas frappé autant que son adversaire, mais a su viser juste.

    Première période: Un but et on ferme boutique

    Bien décidée à ne pas faire naitre une polémique identique à celle qui a suivi son huitième de finale face à l'Australie, la formation de Marcello Lippi démarre la rencontre pied au plancher. Titulaire intérimaire au milieu de terrain, Camoranesi veut prouver qu'il a sa place et se joue de l'axe ukrainien: sa frappe puissante finit à quelques centimètres du poteau droit de Shovkovskyi (4e). Fébriles pour le premier quart de finale de leur histoire, les coéquipiers d'Andreï Shevchenko ne prennent pas note de l'avertissement adressé par le Turinois. À tort. Zambrotta, un autre joueur de la Juventus, transperce lui aussi le bloc jaune et revient au centre pour envoyer un tir tendu au fond des filets de Shovkovskyi, qui n'a pas les poings assez fermes (1-0, 6e).

    Cette ouverture du score précoce aurait pu lancer ce second quart de finale. Il n'en est rien. Forte de son avantage et d'une défense de fer (qui n'a pris qu'un but, contre son camp), la Squadra Azzurra se contente de gérer. Cela demeure suffisant face à des Ukrainiens qui ne parviennent pas à rentrer dans le match. Très attendu, Shevchenko ne se montre pas à son aise face à ses ex-coéquipiers milanais et réalise une prestation assez terne, dans la lignée de son début de Mondial. Sans le vrai "Super Sheva", ni Voronine (blessé), l'Ukraine éprouve les pires difficultés à prendre à défaut Cannavaro et ses compères. La seule alerte intervient finalement à l'approche du repos, lorsque Shevchenko se met enfin en bonne position de frappe: légèrement déviée, sa tentative n'est pas loin de prendre Buffon à contre-pied. Mais le gardien turinois peut capter le cuir et préserver l'avantage (41e).

    Seconde période: Le réveil de Toni

    Au retour des vestiaires, le scénario s'avère identique. L'Italie met la pression d'entrée, par l'intermédiaire de Toni, dont le tir à ras de terre finit dans le petit filet extérieur de Shovkovskyi (46e). Cette alerte a le mérite de réveiller les Ukrainiens et donc de relancer la partie. Les troupes d'Oleg Blokhine accélèrent le jeu et sont tout proches de forcer les Transalpins à marquer une nouvelle fois contre leur camp. Mais le ballon finit à côté alors que Buffon était battu (49e). Dans la foulée, le gardien italien exécute une parade superbe en écartant la tête de Gusin, esseulé au second poteau (50e). Le match s'emballe durant plusieurs minutes. Alors que Grosso ne profite pas du coup franc de Pirlo (56e), les Ukrainiens donnent une autre sueur froide à l'arrière-garde transalpine: Gusev puis Gusin frappent à bout portant mais Buffon se couche bien avant d'être suppléé par Zambrotta, devant la ligne (58e).

    C'est le tournant de la rencontre. Car dans la minute suivante, l'une des rares offensives italiennes va payer. Les transalpins obtiennent un corner côté gauche, joué en deux temps: le centre de Totti ne peut être repris par Cannavaro, mais Luca Toni a suivi: de la tête, il ouvre son compteur but et réalise le break (2-0, 59e). Les Ukrainiens éprouvent des difficultés à s'en remettre, d'aucun que la chance leur tourne le dos. Gusin jaillit encore au second poteau pour placer sa tête, lober Buffon, mais ne trouver que la transversale (62e). Les coéquipiers de Shevchenko n'y croient plus vraiment.

    Le bloc italien reste concentré et bien en place, renforcé un peu plus par le coaching défensif de Marcello Lippi, qui fait tourner son effectif. Pirlo et Camoranesi peuvent se reposer et assister du banc au doublé de Toni. L'attaquant de la Fiorentina profite d'un travail exceptionnel de Zambrotta, qui élimine deux défenseurs avant de lui offrir un caviar (3-0, 69e). Les dés sont jetés. Ni Shevchenko, d'un coup franc puissant, ni Belik de la tête ne parviennent à sauver l'honneur, Buffon restant impérial (79e, 86e).

    Dans la ligne de mire de la Squadra Azzurra apparaît maintenant l'Allemagne. L'autre formation "qui gagne toujours à la fin" aura le public de son côté. Mais pas l'histoire. Par deux fois, Allemands et Italiens se sont rencontrés lors du second tour de la Coupe du Monde, lors des demi-finales en 1970 et lors de la finale, en 1982. À chaque fois, les Transalpins se sont imposés. Jamais deux sans trois?

    L'HOMME DU MATCH: Gianluca Zambrotta (Italie)

    De loin, le joueur-clé de la rencontre. Indispensable défensivement, impeccable offensivement. Buteur d'emblée avec un tir puissant de son mauvais pied, le latéral de la Juventus a placé l'Italie sur la bonne voie. Il a ensuite empêché l'Ukraine d'égaliser en écartant une frappe de Gusin devant sa ligne. Pas avare d'efforts, il a une nouvelle fois fait la différence devant pour offrir le troisième but à Toni.

    LA DECLA: Marcello Lippi (sélectionneur de l'Italie):

    "Quelle joie d'être dans le dernier carré du Mondial, mais il ne faut pas croire que cela soit une fin en soi. Dans le vestiaire, je vais le dire aux joueurs pour qu'ils ne croient pas que nous sommes arrivés au bout de nos ambitions. Il faudra continuer avec coeur et enthousiasme. Il est encore trop tôt pour parler de l'Allemagne, on va d'abord suivre France-Brésil et Portugal-Angleterre samedi et puis on verra. Enfin, on a retrouvé un grand Luca Toni".





     

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