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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
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    Coupe du Monde 2006

    25/06/2006 08:33



    L'Allemagne express

    L'Allemagne express

    Plus d'infos

    Grâce à un doublé de Lukas Podolski réussi en douze petites minutes, l'Allemagne a écarté la Suède (2-0) de son chemin et se qualifie pour les quarts de finale de la Coupe du monde 2006. La Nationalmannschaft est en définitivement lancée et affrontera l'Argentine ou le Mexique au prochain tour.

    ALLEMAGNE - SUEDE : 2-0
    Buts : Podolski (4e, 12e)

    Comme il y a quatre ans, la Suède est tombée dès les 8e de finale de la Coupe du monde. A Oita, les Suédois s'étaient inclinés face au Sénégal, un outsider. Samedi à Munich, c'est un prétendant autrement plus sérieux, l'Allemagne, qui a sorti la sélection de Lars Lagerback. Après un premier tour impeccable, la Mannschaft a repris ses bonnes habitudes dès le début de la deuxième phase de ce Mondial. Nets vainqueurs de l'équipe de Suède (2-0), les joueurs de Jürgen Klinsmann continuent leur petit bonhomme de chemin. Avec le même brio et un panache dont l'Allemagne a rarement fait preuve dans son histoire. Suffisant pour broder une quatrième étoile au maillot blanc ? Possible.

    Première période : Podolski ne perd pas de temps

    Avec une équipe au complet et en pleine confiance après trois premiers matches accomplis, la Nationalmannschaft entre dans la partie comme souvent. Fort. Et ne met pas cinq minutes avant d'enflammer l'Allianz Arena. Sur un éclair de Miroslav Klose, qui efface son adversaire direct à l'entrée des seize mètres mais bute sur Andreas Isaksson, Lukas Podolski se montre opportuniste et pousse le ballon au fond des filets (1-0, 4e). La Suède a déjà pris un coup sur la tête. Elle sera bientôt assommée.

    De loin supérieurs à la sélection de Lars Lagerback, les Allemands déroulent. Les frappes de loin, les centres, tout y passe. Et Miroslav Klose continue son festival. En possession du ballon à l'entrée de la surface, l'attaquant du Werder Brême se dirige vers le côté gauche, entraîne trois défenseurs et sert Lukas Podolski, passé dans son dos. Génial. Le numéro 20 allemand double la mise du gauche (2-0, 12e). La messe est déjà dite.

    La faute à une formation allemande qui ne cesse d'attaquer. Klose (31e), Frings (33e) et Schweinsteiger (34e) de loin, sont à deux doigts d'alourdir la marque face à une équipe suédoise complètement amorphe et qui, avec ses onze joueurs, n'est pas assez pour contrer la furie allemande. Evidemment, lorsque Teddy Lucic reçoit un deuxième carton jaune sévère pour une faute d'antijeu (35e), la mission devient impossible. C'est pourtant à ce moment que la Suède sort la tête de l'eau. D'une demi-volée en pivot, Zlatan Ibrahimovic oblige Jens Lehmann à une parade peu académique (40e). Ce même Lehmann passe au travers deux minutes plus tard sur un centre d'Henrik Larsson. Sans conséquence (44e).

    Seconde période : Larsson rate le coche

    L'ombre tombe sur la pelouse de Munich. Le rythme également. Et la Suède bénéficie d'une chance inespérée. Sur une faute de Christoph Metzelder, Henrik Larsson obtient un penalty. Le penalty de l'espoir ? Du désespoir puisque le Barcelonais frappe au-dessus (53e). L'Allemagne reprend sa marche en avant. Si les imprécisions sont de plus en présentes dans le jeu des locaux, la domination reste germanique. Et Michael Ballack touche du bois sur une énième frappe lointaine, légèrement déviée par Andreas Isaksson (55e).

    Les Suédois tentent de revenir au score lors de la dernière demi-heure. Dépossédés du cuir durant les deux tiers de la partie, les Scandinaves en ont la possession en fin de match. Mais ce sont les Allemands et notamment Michael Ballack qui restent les plus dangereux. Le capitaine allemand tente sa chance de partout. Mais Isaksson est toujours sur la trajectoire du ballon. Même Oliver Neuville, entré en jeu, trouve le Rennais sur sa route (86e). Qu'importe. Vainqueur de la Suède, l'Allemagne est en quarts de finale de sa Coupe du monde. Et a parcouru plus de la moitié du chemin. Mais les derniers kilomètres s'annoncent fort pentus.

    L'HOMME DU MATCH : Lukas Podolski (Allemagne)

    Parti piano dans cette Coupe du monde, Lukas Podolski (28 sélections, 15 buts) a mis le pied sur le champignon depuis deux rencontres. Critiqué après sa prestation face à la Pologne (1-0), l'attaquant s'était rattrapé face à l'Equateur (3-0) en signant son premier but de la compétition. Bien épaulé par un Miroslav Klose toujours aussi altruiste, Podolski a fait feu à deux reprises face à la Suède. Le futur joueur du Bayern Munich a déjà emballé l'Allianz Arena. Avec trois buts inscrits, il pointe au deuxième rang des buteurs. Derrière Klose (4 buts).

    LA DECLA : Michael Ballack (capitaine de l'Allemagne)

    "Nous avons joué de façon sensationnelle en première période, nous avons encore élevé notre niveau de jeu, je ne crois pas que nous pouvions mieux jouer. Après nous avons géré en seconde période. Ce qui est le plus important, c'est que nous avons gagné: maintenant l'Argentine ou le Mexique, c'est pareil: l'Argentine est favorite du tournoi, mais nous ne partirons pas battus".


    L'Argentine sort du piège 

    L'Argentine sort du piège

    Plus d'infos

    L'Argentine est toujours en vie, mais elle a souffert. Longtemps accrochée par le Mexique, l'Abiceleste n'a dû son salut qu'à un but d'anthologie de Maxi Rodriguez au cours de la prolongation pour s'imposer 2-1. Les hommes de Jose Pekerman retrouveront l'Allemagne en quarts de finale.

    ARGENTINE - MEXIQUE: 2-1 a.p.
    Buts: Borgetti (10e csc), Maxi Rodriguez (98e) pour l'Argentine - Marquez (6e) pour le Mexique

    Il y a un an lors de la Coupe des Confédérations, l'Argentine et le Mexique s'étaient départagés lors de la séance des tirs au but. Hissée au rang de favorite après son premier tour brillant, l'Albiceleste a une nouvelle fois souffert pour passer l'obstacle mexicain. La faute à un excès de confiance diront certains. Mais plus certainement à cause d'un homme : Ricardo La Volpe. Le sélectionneur des Aztèques, troisième gardien de l'équipe d'Argentine championne 1978, connaissait en effet suffisamment la maison bleue ciel pour mettre une place un dispositif quasi-parfait. Il aurait même pu être parfait sans un coup de génie de Maxi Rodriguez qui a sorti l'Argentine de sa torpeur en prolongations...

    Première période : Deux buts et plus rien

    Pourtant, le début du match est bien loin du quadrillage qui va suivre. Les Mexicains se ruent à l'attaque et trouvent rapidement la faille grâce à Rafael Marquez. Sur un coup de Pardo, Mendez dévie de la tête pour son capitaine qui se jette au second poteau et reprend victorieusement (6e, 0-1). Mais l'Argentine n'a pas le temps de douter. Secouée dans les premières minutes, elle égalise sur sa première incursion dans la surface. Suite un corner de Riquelme, Borgetti trompe son propre gardien de la tête en voulant défendre sur Crespo. Curieusement, le but est pourtant attribué à l'attaquant de Chelsea... (11e, 1-1). Quelques minutes plus tard, ce dernier aurait pourtant pu marquer un but qu'il n'aurait dû à personne. Mais, parfaitement lancé par Cambiasso, il manque nettement le cadre sur une tentative de lob sur Oswaldo Sanchez (23e).

    Mais, le reste du temps, les deux équipes se livrent une véritable bataille tactique et le rythme redescend vite. A ce petit jeu, Ricardo La Volpe semble prendre le dessus sur son homologue argentin. En bloquant les couloirs avec Castro-Mendez à droite et Guardado-Morales à gauche, le Mexique perturbe l'Albiceleste qui est contrainte de jouer dans l'axe. Résultat : aucun tir cadré et surtout aucun centre pour les Argentins en première période. En attaque, les Aztéques s'appuient sur le jeu de tête de Borgetti. Là aussi, cette tactique a failli payer mais le meilleur buteur de l'histoire du Mexique bute sur Abbondanzieri qui détourne en corner (26e). Les Argentins s'en sortent même bien sur une énorme faute de Gabriel Heinze qui ne lui vaut qu'un carton jaune (45e).

    Seconde période : Guerre tactique

    La partie d'échecs reprend au retour des vestiaires. Entre deux équipes qui se connaissent pas coeur mais qui se sont faites surprendre dans les premières minutes, on refuse de prendre des risques. Il faut toutefois une intervention de Sorin face à Borgetti pour empêcher le Mexique de repasser devant (54e). On s'étonne même de ne pas voir l'Argentine répondre à l'envie des Mexicains. Si brillants au premier tour, les Sud-Américains peinent au milieu de terrain où Riquelme n'a pas son rayonnement habituel et peine à accélérer le jeu. Mais, derrière son style nonchalant, le meneur de Villarreal reste un danger permanent. Il parvient ainsi à lancer Saviola en profondeur. Mais, comme quelques minutes plus tôt face à Maxi Rodriguez (57e), Oswaldo Sanchez s'interpose face à l'ancien Monégasque (59e).

    José Pekerman abat sa carte dans cette bataille tactique. Dans une rencontre fermée, on compte sur le génie d'Aimar (76e), Tevez (76e) puis Messi (84e) pour faire basculer la rencontre. Mais le match n'est pas vraiment à la hauteur. Sur l'une des rares offensives de la seconde période, Fonseca crée le danger mais sa tête manque le cadre (86e). La partie aurait également pu pencher du côté argentin si Lionel Messi, parti dans le dos de la défense, ne s'était pas vu refuser un but pour un hors-jeu imaginaire (90+2). Mais, après 90 minutes, l'Argentine n'a toujours pas trouvé la solution au piège mexicain.

    Prolongations : Le génie de Maxi Rodriguez

    Comme lors de la Coupe des Confédérations 2005, les deux équipes disputent les prolongations. Mais l'analogie s'arrête là. Alors que l'Argentine avait dû attendre les tirs au but il y a un an (6 tab à 5), Maxi Rodriguez libère son équipe sur un exploit individuel. Un contrôle de la poitrine sur un renversement de Sorin et une reprise de volée splendide qui accroche la lucarne de Sanchez (98e). Malgré leurs efforts, les Mexicains n'ont plus le physique pour revenir au score. En usant la défense, en ayant fait entrer trois joueurs à vocation offensive, Pekerman a remporté la bataille tactique avec La Volpe. Si le Mexique échoue pour la 4e fois d'affilée en 8e de finale, l'Argentine se prépare à affronter l'Allemagne, vendredi.

    L'HOMME DU MATCH : Maxi Rodriguez

    Arrivé dans l'ombre des Crespo, Saviola et autres Riquelme, Maximiliano "Maxi" Rodriguez s'est hissé au rang de héros de l'Argentine. Sur un coup de génie, il a offert la qualification à son pays et a surtout réveillé une équipe trop attentiste. Peu connu en Europe, cet attaquant formé chez les Newell(s Old Boys s'était pourtant fait remarquer lors du Championnat du monde Juniors en 2001 où il avait inscrit quatre but, dont un lors de la finale remportée par les Argentins. A 25 ans, il a déjà marqué 6 buts en 17 sélections. Le joueur de l'Atlético Madrid n'est pas prêt de s'arrêter...

    LA DECLA : José Pekerman (sélectionneur de l'Argentine)

    "Ca n'a pas été facile, c'est la faute de l'adversaire d'aujourd'hui, le Mexique. Il faudra corriger des petits problèmes pour la suite, comme les ballons aériens. Leurs centres sur Borgetti et Fonseca nous ont fait mal. Un Mondial, ce n'est pas un concours d'échange de roses, c'est plutôt des passes (de muleta) face à un taureau. A chaque tour passé, on rencontre une équipe compliquée. Le Mexique a toujours été très dur à manoeuvrer, mais nous sommes l'Argentine. Le football a beaucoup de facettes, et il y a aussi plein de choses qui expliquent cette partie difficile: la tactique, l'état émotionnel de l'équipe. Mais on a su être lucides dans les moments clés. Nous corrigerons nos défauts".





     

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