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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
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    Coupe du Monde 2006

    24/06/2006 12:43



    Vieira était partout

    Vieira était partout

    Plus d'infos

    Omniprésent à la récupération, Patrick Vieira s'est mué en buteur puis en passeur face au Togo. Le milieu de la Juventus a été décisif. La défense a été irréprochable dans son ensemble tandis que David Trezeguet, titularisé pour la première fois de la compétition, a manqué de réalisme.

    FABIEN BARTHEZ : Le gardien des Bleus a assuré l'essentiel en première période. Après un bon dégagement sur un centre dangereux (10e), il a réussi une bonne intervention en deux temps sur un tir, il est vrai un peu mou, de Salifou. Le portier de l'OM n'a quasiment rien eu à faire en seconde période, laissant sa cage inviolée au coup de sifflet final 

    WILLY SAGNOL : S'il a connu un peu de déchet sur ses coups de pied arrêtés, l'arrière droit des Bleus ne s'est jamais découragé pour autant. Toujours offensif, sa volonté d'apporter le surnombre a été récompensée sur le deuxième but de l'équipe de France avec une bonne ouverture pour Vieira. Jamais pris en défaut défensivement, le joueur du Bayern a livré une prestation solide

    LILIAN THURAM : On sent qu'il monte en régime dans cette Coupe du monde. Dominateur dans ses duels face aux attaquants togolais, le défenseur de la Juventus a retrouvé tout son sens de l'anticipation et connu très peu de déchet dans sa relance. De bon augure avant le rendez-vous face à l'Espagne et son armada offensive 

    WILLIAM GALLAS : Un match sobre et efficace de la part du défenseur de Chelsea, rarement, sinon jamais, pris en défaut sur les offensives togolaises. Son entente avec Lilian Thuram semble évoluer sur la bonne voie

    MIKAEL SILVESTRE : Titularisé sur le flanc gauche de la défense pour remplacer Eric Abidal, suspendu, le joueur de Manchester United n'a pas vraiment marqué des points pour conserver sa place. Ses défaillances dans le placement ont notamment permis aux Togolais de jouer dans son dos et d'apporter le danger sur le but de Barthez en première période. Ses centres et ses relances n'ont pas toujours été heureuses non plus.

    CLAUDE MAKELELE : Il n'est pas pour rien dans le rayonnement de Patrick Vieira depuis deux matches. Véritable sentinelle du milieu de terrain, le joueur de Chelsea a encore abattu un travail remarquable à la récupération avant de réussir une majorité de bonnes relances grâce à sa science du jeu court. Seul petit bémol : un carton jaune reçu après un tacle dangereux sur un Togolais. Mais cela restera un avertissement sans conséquence 

    PATRICK VIEIRA : L'homme du match, comme face à la Corée du Sud. Dans la foulée de sa très belle prestation contre les Coréens, le milieu de la Juventus a encore harcelé le milieu togolais par son incessant pressing. Sa liberté offensive, rendue possible grâce au dévouement de Claude Makelele, lui a permis d'inscrire un but de près avant de réussir une passe décisive pour Thierry Henry. Il qualifie les Bleus le jour de ses 30 ans et de sa 90e sélection. Un beau cadeau ! Remplacé par ALOU DIARRA (81e), qui n'a pas vraiment eu le temps de se mettre en valeur 

    FRANCK RIBERY : Titularisé pour la deuxième fois depuis le début de la compétition, le joker des Bleus a connu une partie inégale. Si ses prises de balle ont souvent été à l'origine des occasions tricolores, il a en revanche multiplié les mauvais choix dans le dernier geste, à l'image de ses deux frappes trop enlevées alors qu'il était idéalement placé (28e, 53e). Après ces deux opportunités vendangées, il a su se montrer décisif en offrant l'ouverture du score à Patrick Vieira au terme d'une belle percée. Du coup, son bilan est plutôt positif. Remplacé par SIDNEY GOVOU (77e), auteur d'une entrée plutôt discrète dans un match déjà plié. 

    FLORENT MALOUDA : Le Lyonnais a été globalement décevant dans une rencontre où on attendait beaucoup de lui. Positionné sur le flanc gauche du milieu de terrain, il n'a pas fait suffisamment la différence en première période malgré quelques bons centres et une frappe dangereuse (39e). A quasiment disparu de la circulation après la reprise avant de céder sa place à SYLVAIN WILTORD (74e), qui n'a pas beaucoup plus apporté que son coéquipier de Lyon. 

    THIERRY HENRY : Déjà buteur face à la Corée du Sud, la star des Gunners a fait ce qu'on attendait de lui en récidivant contre le Togo d'une belle frappe en pivot, après un service impeccable de Patrick Vieira. En dehors de ça, il n'a finalement pas réussi grand chose. Il n'impressionne pas autant dans ses prises de balle qu'il peut le faire à Highbury et n'a quasiment jamais pu éliminer balle au pied. On reste un peu sur notre faim, mais son bilan reste quand même positif 

    DAVID TREZEGUET : Il aurait pu prendre la tête du classement des buteurs rien que sur ce match tant il a eu d'occasions. Titularisé pour la première fois de la compétition, "Trezegol" a bénéficié d'excellents ballons venus de Ribéry ou de Malouda sans jamais parvenir à les concrétiser (4e, 8e, 22e, 33e, 68e). Un manque de réalisme inhabituel de la part de l'ancien Monégasque, qui s'explique aussi par la belle prestation de Kossi Agassa dans le but togolais. Il s'est vu refuser un but pour hors-jeu (14e). Un match à oublier.


    Domenech : "Une étape" 

    Domenech : "Une étape"

    Soulagé par la qualification des Bleus face au Togo (2-0), Raymond Domenech n'entend pas s'arrêter là. S'il a souffert, le sélectionneur prend cette victoire comme une étape et se tourne déjà vers le 8e de finale face à l'Espagne. Il en profite pour évoquer les cas Zidane, Vieira et Trezeguet.

    RAYMOND DOMENECH, avez-vous douté en voyant toutes ces occasions manquées ?

    R.D. : Non, on n'a pas le temps de douter dans ces moments-là. On se dit seulement : "comment on peut encore pousser ?". On s'était dit dans le vestiaire que ça pouvait être à la 90e, à la 95e. Les joueurs n'ont pas lâché. C'était écrit, on savait que ce ne serait pas facile et qu'on ne marquerait pas tout de suite mais on était tous dans cet état d'esprit de pousser jusqu'au bout.

    Qu'avez-vu pensé de la prestation de vos joueurs ?

    R.D. : On a souffert, cela n'a pas été évident. Le Togo nous a fait souffrir, comme il a fait souffrir les Suisses et les Coréens. On a fait ce qu'il fallait pour les bousculer. On a pris des risques, parfois à la limite de la rupture. Je ne vais pas le cacher, ça a été dur. Mais cette équipe a des ressources. Elle n'a jamais lâché. Il y a eu beaucoup d'occasions, on a cru qu'on n'y arriverait jamais mais c'est venu. La réussite est revenue en seconde période.

    Cette victoire peut-elle servir de déclic pour l'équipe de France ?

    R.D. : Je n'avais pas réfléchi à ça... On ne vit pas avec le passé. On vit le présent. Et le présent immédiat, c'est le match de l'Espagne qui arrive. C'est ce qui compte.

    Cette qualification en 8e de finale est-elle un soulagement ?

    R.D. : (Hésitant) Oui, je suis heureux ! Je suis heureux pour les joueurs. Ce qu'ils ont fait sur le terrain, c'est super. Ils n'ont jamais lâché. Ils se sont battus contre l'adversité parce que ça n'a pas toujours été facile. Les occasions, l'adversaire, l'arbitrage... il a fallu passer au-dessus de tout ça et ils l'ont passé. Maintenant, on s'accorde un répit. On est content de ce qu'on a fait mais ça ne suffit à personne. On sait que c'est seulement une étape. On a un peu de temps pour se préparer, on va voir.

    Maintenant que la pression de la qualification est passée, la France va-t-elle jouer plus libérée ?

    R.D. : Non... A chaque match, je croyais que le prochain serait meilleur. La pression, elle n'est pas juste là. La Coupe du monde, ça n'est que ça, ce n'est que de la pression. Chaque match est difficile. Donc le prochain sera dans le même registre.

    Auriez-vous préféré affronter l'Ukraine ?

    R.D. : Affronter l'Espagne, c'est ce que j'avais prévu... mais pas dans ce sens là. Je pensais qu'ils seraient deuxièmes de leur groupe et nous premiers. L'Espagne ou l'Ukraine, voire la Tunisie, c'est de toute façon un match difficile quand on est en 8e de finale de la Coupe du monde. Il n'y a que des équipes solides. L'Espagne s'est montrée performante, c'est une équipe qui marque. Il faudra lutter contre ça.

    Etes-vous satisfait du match de David Trezeguet ?

    R.D. : On a 23 joueurs. Tout le monde doit être prêt à tout moment à rentrer, à jouer des bouts de matches ou des matches entiers. Une Coupe du monde ne se gagne pas à onze, elle se gagne à 23 si les 23 sont présents et disponibles quand on fait appel à eux. Pour David, je vais faire une exception. J'entends déjà tout le monde le critiquer parce qu'il a manqué des occasions de but. Mais David est un point d'ancrage permanent. Il permet la fixation de l'adversaire, il a permis l'élaboration du jeu. Je ne vois pas dans une équipe que celui qui marque le but. Il y a tout un ensemble de chose qui fait qu'un joueur, même s'il n'a pas marqué, peut avoir été intéressant pour le collectif. C'est ce que David a fait.

    L'absence de Zinédine Zidane a-t-elle été préjudiciable ?

    R.D. : Je peux vous dire oui, je peux vous dire non. Mais ça ne changera rien au problème. Le match est fini. On l'a joué sans lui et on l'a gagné. Maintenant, on peut refaire le film. On peut redécouper les bouts de pellicule et refaire le montage. L'objectif, c'était de gagner par deux buts d'écart. C'est ce qui a été fait avec ceux qui étaient là. Ils ont fait ce qu'ils devaient faire. Bravo ! Aujourd'hui, on savoure. Mais demain est un autre jour. On verra ce qu'il se passe par la suite.

    Qu'avez-vous pensé du match particulièrement réussi de Patrick Vieira ?

    R.D. : J'avais dit au début de la Coupe du monde que ce serait un des grands hommes du Mondial. Je connais Pat, je vois sa motivation, sa préparation. Je sais ce qu'il est capable de faire. Je le confirme, ce sera un des grands joueurs de ce Mondial. Je m'excuse d'avoir eu raison avant les autres.

    Le niveau affiché par la France suffira-t-il pour battre l'Espagne ?

    R.D. : Aujourd'hui, ça a suffi pour battre le Togo. Mardi, on verra ce qu'il faut faire en plus pour battre l'Espagne.





     

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