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SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
  • 14 commentaires postés
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  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
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    Championnat suisse

    18/05/2006 07:32



    «On y a toujours cru sans le dire»
    LUCIEN FAVRE Fidèle à lui-même et à une certaine conception du (beau) jeu, le Vaudois du Letzigrund a offert au FC Zurich son premier titre de champion depuis 25 ans. C'est aussi la preuve que les millions ne font pas tout
    PHILOSOPHIE COMMUNE Lucien Favre et son président Sven Hotz jouent la carte jeune par conviction mais aussi par obligation financière.
    15 mai 2006
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    «Moi, ce qui m'intéresse en priorité, c'est comment l'on joue. Quand une équipe arrive à jouer juste, ce qui est notre cas, les résultats finissent toujours par suivre. Dans ce milieu, une bonne philosophie peut parfois compenser l'absence de gros moyens financiers...»

    Ainsi s'exprimait hier Lucien Favre (48 ans), auréolé d'un titre arraché au FC Bâle dans les ultimes secondes des arrêts de jeu du championnat. «Quand on est rentré de Bâle samedi soir, nous ne sommes pas arrivés à sortir du car tant il y avait du monde. Toute une ville dansait sous la pluie. C'était de la folie...»

    De la folie, de la haine plutôt, il y en a aussi eu à la fin du match. Votre avis sur ces graves débordements?
    Ce qui s'est passé est digne d'une République bananière. On vit dans une société trop tolérante. A la fin, c'était Turquie-Suisse en pire. On doit réagir pour ne pas s'habituer à ça. Certains de mes joueurs ont dû se défendre, c'est intolérable.

    Ce titre, ça représente quoi? Quel en est sa valeur?

    C'est l'aboutissement d'une saison magnifique. On y a toujours cru sans le dire. Le jour où l'équipe est revenue de 0-3 à 3-3 contre YB, je savais que tout était possible... À condition de tout gagner. Si l'on avait perdu ne serait-ce qu'un seul point, l'équipe aurait peut-être lâché.

    Cachant bien votre jeu, vous aviez tout au long de la saison parlé d'un objectif secret avec vos joueurs. De quoi s'agissait-il?

    C'était un objectif comptable, établi en fonction de nombre de points à atteindre. Entre nous, on avait un nouvel objectif tous les quatre matches, objectif que l'on atteignait parfois déjà après trois rencontres. Je n'ai eu cesse de refixer au groupe de nouveaux buts, chaque fois plus élevés.

    Zurich, c'est aussi l'avènement d'une bande de jeunes au talent prodigieux, politique que vous avez délibérément choisie...

    Soyons francs: si l'on a choisi la voie de la jeunesse, c'est aussi parce que, économiquement parlant, il n'y avait pas d'autre choix. A ce niveau, un monde séparera toujours Zurich de Bâle et d'YB, dont la puissance économique sera toujours largement supérieure à la nôtre. A Bâle, notre moyenne d'âge était de 22 ans et demi. Leoni n'était pas titulaire il y a 8 mois. Von Bergen a disputé une saison extraordinaire. A la relance, Steve, droitier évoluant à gauche, parvient à faire des diagonales de 60 mètres avec son mauvais pied! Qui en Europe peut en dire autant?

    D'un point de vue personnel...

    Je n'ai pas dérogé à mes idées. A Zurich, les gens sont attentifs à la justesse des choix qui ont été faits. Le but, c'est qu'il y ait toujours au sein du club, quand je partirais, une âme, une conception de jeu et un fond de commerce.

    Quel couple formez-vous avec Sven Hotz, votre président?

    Il comprend et partage ma philosophie. Sur la longueur, ce titre lui aura coûté cher... mais pas sur cette dernière saison! (Rires)

    Quel est le nouvel objectif du FC Zurich? La participation à la Ligue des champions?

    On entrera au deuxième tour préliminaire, avec le risque de se faire shooter d'entrée. Notre but, c'est de poursuivre avec la même philosophie en espérant conserver le 90% de l'effectif. Il faut sans cesse réinventer la même chose. Dès l'instant où un joueur suisse reçoit une offre de l'étranger, on peut faire notre deuil car on ne peut pas régater.

    Que va faire Lucien Favre jusqu'au 6 juin (ndlr: reprise des entraînements)?

    Il faut que je m'occupe de moi!


    Joao Paulo a propulsé Yverdon Sport en Challenge League
    SUPER LEAGUE Ce n'est pas hier que les Vaudois ont laissé passer leur chance de se maintenir au sein de l'élite. Dépité, Roberto Morinini quitte le club. Auteur d'un triplé, l'attaquant Brésilien de Young Boys a gagné le match à lui tout seul
    BOURREAU Roberto Morinini est atterré: Daniel Joao Paulo fait exploser la défense yverdonnoise.
    14 mai 2006
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    » Young Boys
    Il est 18h06 au Stade Municipal d'Yverdon et les joueurs du crû quittent la pelouse tête basse. Chacun dans son coin, en gambergeant. «C'est la première fois que je connais une relégation sportive, soupire le gardien Claudio Gentile. Je ne sais pas vraiment comment réagir. Je suis resté longtemps sous la douche, perdu dans mes pensées...» Une ascension, on la fête en groupe. L'échec, lui, semble se gérer individuellement.

    Après une jolie aventure d'une saison au sein de l'élite, Yverdon retrouve la Challenge League, qu'elle avait quittée, tête haute, au terme de la saison 2004-2005. Si les joueurs et plus encore leur entraîneur Roberto Morinini affichent une mine dépitée, ce n'est pas vraiment le cas du président du club, Paul-André Cornu, qui se veut plutôt philosophe. «C'est un chapitre très agréable qui se referme. Nous avons eu la chance de visiter (sic!) de très beaux stades comme Saint-Jacques et le Stade de Suisse... Là, nous redescendons, victimes de ce surnombre de clubs romands qui luttent pour jouer en Super League.»

    Mais ce n'est pas hier que le club yverdonnois a perdu le droit d'évoluer au sein de l'élite, même si les Vaudois ont été nettement inférieurs à des Bernois désireux de livrer une belle ultime prestation. «Nous sommes des pros qui devons jouer le jeu jusqu'au bout, avouera Steve Gohouri. Pourtant, je peut vous dire que ça m'embête vraiment de faire tomber mon ancien club...»

    Non, il semblerait bien qu'en plus d'un manque cruel de réussite à la finition, ce soit le départ pour le Qatar du buteur maison Francisco Aguirre à la pause qui ait précipité la chute d'Yverdon. «Ce n'est pas son départ, mais le fait qu'il n'ait pas été remplacé, précise Roberto Morinini. Les joueurs qui sont venus à sa place, je ne les connaissais même pas!» Un Rogerio et un Marcao qui n'ont jamais réussi à enflammer le Stade Municipal. «Rai a aussi mis du temps à s'adapter au championnat français» rétorque Paul-André Cornu, pas vraiment de bonne foi.


    Yverdon - Young Boys 1-3 ( 1- 2)


    Stade Municipal: 5550 spectateurs. Arbitre: M. Circhetta.

    Buts:

    13e Biscotte 1-0. L'attaquant de poche yverdonnois hérite d'une bonne balle en profondeur de N'Diaye. Il prend Portillo de vitesse et croise parfaitement son tir.
    18e Joao Paulo 1-1. Corner tiré sur la gauche des buts de Gentile, évidemment botté par Hakan Yakin. Le gardien yverdonnois tente une sortie aux poings, mais manque le ballon, qui atterrit sur la tête du Brésilien qui égalise.
    37e Joao Paulo 1-2. Dans l'axe, Hakan Yakin glisse subtilement le cuir à son attaquant qui signe sa 2e réussite personnelle d'un joli tir croisé.
    62e Joao Paulo 1-3. Après avoir pourtant trébuché sur le ballon dans la surface, le Bernois bénéficie de contres favorables face à Malacarne et à Jaquet avant de fixer Gentile. Et de trois!

    Yverdon:
    Gentile; Jenny, Malacarne, Jaquet, El Haimour; N'Diaye, Alexandre (73e Marcao), Gomes, Rogerio (56e Milicevic); Biscotte, Moser (56e Grubesic).
    Entraîneur: Roberto Morinini.

    Young Boys:
    Wölfli; Gohouri; Tiago, Portillo; Raimondi (64e Aziawonou); Sermeter (79e Magnin), Yapi, C. Schwegler; Yakin; Häberli, Joao Paulo (84e Shi).
    Entraîneur: Gernot Rohr.

    Notes:
    Yverdon sans Marsiglia (suspendu). Young Boys sans Varela (suspendu), Pirmin Schwegler ni Everson (blessés).

    Avertissements:
    27e Tiago (faute sur El Haimour), 59e Malacarne (antijeu), 70e Aziawonou (faute sur Jenny).

    Coups de coin:
    3-3 (0-3)


    LS: fin en queue de poisson
    CHALLENGE LEAGUE Le FCC menait 1-0, lorsque l'arbitre décida de ne pas reprendre la deuxième mi-temps et d'arrêter le match. Les Vaudois ont déposé un protêt qui n'a (pratiquement) aucune chance d'aboutir
    PLOUF! Domo (à g.) et Isabella ont tenté de surnager dans la piscine de la Charrière pendant une mi-temps. Avant d'aller se... doucher!
    13 mai 2006
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    A la Charrière, la saison régulière (?) de Challenge League s'est achevée dans une monstrueuse pagaille et la confusion. Les faits d'abord: normalement, la deuxième mi-temps de ce FCC-LS aurait dû recommencer hier à 18 h 35. Mais le match, victime des intempéries et de l'orage de grêle qui s'est abattu sur la Ville, n'allait jamais reprendre... Après avoir été inspecté une deuxième fois le bourbier de la Charrière - il avait, peu avant le coup d'envoi, estimé le terrain praticable -, M. Kever convoquait les deux capitaines pour les informer, sur le coup de 19 h, que le derby était définitivement arrêté. A ce moment-là, le FCC menait logiquement 1-0 tandis qu'au Tessin, Sion avait déjà fait la différence.

    Discussions interminables

    Dans les couloirs du stade transformés en dernier salon où l'on cause (et où l'on s'énerve!), les palabres et les discussions se multiplièrent, reléguant le sport au second plan. Les Chaux-de-Fonniers accusèrent les Vaudois d'être de mauvais perdants. Une accusation encore renforcée lorsque le capitaine Isabella vint déposer un protêt, puis confirmer celui-ci, auprès de M. Kever. Explications de Philippe Guignard, futur ex-boss du LS: «Les directives de la Ligue étaient claires. Or elles n'ont pas été respectées...» Dans l'agitation générale, les dirigeants de la Pontaise entendaient faire annuler les résultats et... rejouer les deux matches concernés. Leur protêt n'ayant aucune chance d'aboutir sur le fond, Lausanne en est quitte ce matin pour pleurer sur son sort. Mais ce triste épilogue se serait-il produit si M. Kever avait pris sur lui de ne jamais faire débuter la partie? En d'autres circonstances, s'il n'avait pas fallu jouer à tout prix, ce FCC-LS aurait été renvoyé à des jours meilleurs. Comment dès lors ne pas imaginer les consignes reçues par l'arbitre, les pressions qu'il a dû subir, d'autant plus qu'un renvoi aurait aussi supposé celui de Lugano-Sion!

    «C'est du folklore de A à Z!», s'exclamait Robert Lüthi, adjoint de Perret, dont les joueurs étaient censés être en vacances dès ce dimanche. Au même moment, ça castagnait dans les pelouses, où un drapeau valaisan avait fait son apparition. Pour Gérard Castella, qui devrait retrouver bientôt la Charrière à la tête de NE Xamax, le match amical de ce dimanche, où les deux équipes devraient en découdre en principe - si la météo le permet - dès 16 h, devenait dérisoire: «Si le résultat de Sion est confirmé, on ferait mieux de se retrouver à la Vue des Alpes pour des grillades et un pic-nic!» Au-delà des circonstances, la magnifique saison du LS s'est achevée en queue de poisson. Depuis quelques jours déjà, le ressort s'était cassé, les joueurs semblant moins concernés. Pour ses adieux, Stéphane Chapuisat aurait mérité une autre sortie...





     

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