| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://sportsactus.vip-blog.com


SPORTS - ACTUS
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

SPORTS - ACTUS

VIP-Blog de sportsactus
  • 132 articles publiés dans cette catégorie
  • 14 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 24/04/2006 07:40
    Modifié : 10/07/2006 16:46

    Garçon (0 ans)
    Origine : suisse
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Accueil ] [ Football ] [ Sports motorisés ] [ Hockey sur glace ] [ Cyclisme ] [ Tennis ] [ Autres ] [ Photos ]

     

    Ligue 1

    18/05/2006 07:55



    Fin de l'aventure pour Jacques Santini à Auxerre  (Panoramic)

    Auxerre change tout

    Moins d’un an après son arrivé à Auxerre, Jacques Santini a été remercié par ses dirigeants. La maison icaunaise n’avait pas connu un tel chambardement en 40 ans avec Guy Roux.


    «Pas l'homme universel»
    Tout un symbole ! C’est au terme du jubilé de Guy Roux que l’on a appris le licenciement de Jacques Santini de son poste d’entraîneur de l’AJ Auxerre. 11 mois après son arrivée en Bourgogne, l’ancien sélectionneur des Bleus est donc prié de faire ses valises et quitter l’Yonne. Sixième au terme de la saison de Ligue 1, soit deux places de mieux que la dernière saison de l’AJA sous la coupe de Guy Roux, l’ancien Vert avait semble-t-il respecté les objectifs du club en termes sportifs. Certes, sans l’Europe, la saison prochaine aurait été plus terne, mais le projet de jeu établi par Santini avait fonctionné une bonne partie de la saison.

    La véritable cassure s’est en fait produite lors du mercato hivernal. Santini avait alors compris qu’il ne dirigeait pas vraiment l’équipe première. Benjani et Diaby avaient été cédés, respectivement à Portsmouth et Arsenal, alors que dans le même temps, l’entraîneur réclamait justement des renforts à ses dirigeants. Insatisfaits d’entendre alors des commentaires acerbes, le président Hamel et ses proches avaient souhaité que Santini se servent plus du centre de formation avant d’envisager dépenser les deniers de l’AJA. Les propos de Gérard Bourgoin, le vice-président icaunais, tenus mardi soir, sont d’ailleurs sans ambigüité. «Il n'est pas l'homme universel que tout le monde avait l'habitude de voir au club. En outre, Jacques n'était pas toujours très présent auprès des équipes B, C et des équipes de jeunes dont les 18 ans», concède ainsi l’ancien numéro 1 du poulet en France dans les colonnes de L’Yonne Républicaine. Auxerre n’a donc pas grandi et n’en a donc pas encore fini avec le règne de Guy Roux, omniprésent jour après jour dans les environs de l’Abbé-Deschamps. Avec près de 40 ans de règne, cela paraît certes logique, mais pas forcément bénéfique pour le club qui connaît là une instabilité digne des clubs les plus médiatiques de France.

    Qui osera prendre la relève ?
    Ce paramètre sera à prendre en compte pour le futur entraîneur du club. Après avoir approché Elie Baup, qui s’est finalement dirigé vers Toulouse, Auxerre devrait poser son grappin sur un élève de Guy Roux, où du moins formaté à l’identique. Point de Perrin en vue donc, trop indépendant de ses dirigeants, mais plutôt un coach du style de Patrick Rémy ou Lionel Charbonnier. L’ancien entraîneur de Caen et l’actuel coach de Sens seraient en balance avec Dominique Cuperly, l'adjoint de Santini et également grand ancien de la maison bourguignonne. Cuperly ne devrait logiquement pas suivre la route de celui avec qui il a conquis le titre de champion de France avec l'OL en 2002. Il se dit d’ailleurs que plusieurs accrochages avaient eu lieu entre les deux hommes dans les vestiaires à la mi-temps des matches cette saison. L'adjoint de toujours (ou presque puisqu'il a dirigé Grenoble une demi-saison) pourrait donc se voir offrir enfin une chance à la tête de l’équipe première d’Auxerre. Quant à Santini, après une expérience avortée du côté de Tottenham, il pourrait reprendre la direction de l’étranger et plus précisément de la Turquie (Fenerbahçe) où son nom est évoqué.


    Elie Baup a trouvé un accord avec le président Sadran  (Panoramic)

    Baup rentre à la maison

    Après son aventure à Saint-Etienne, Elie Baup a décidé de retourner là où tout à commencer pour lui, à Toulouse. Le coach à la casquette s’est engagé pour trois saisons avec le TFC.


    Retour au bercail
    «C’est Elie Baup qui dirigera l’équipe toulousaine la saison prochaine. L’accord avec les dirigeants du TFC porte sur un contrat d’une durée de 3 ans.» Le communiqué publié par le Toulouse Football Club a dû rassurer plus d’un supporter du TFC. Annoncé sur la liste des possibles nouveaux coaches depuis la mise à l’écart programmée d’Erick Mombaerts, Baup s’était toujours refusé à confirmer. L’ancien entraîneur des Verts avait il est vrai pas mal de touches notamment avec Auxerre, mais espérait surtout tenter l’aventure hors des frontières de l’Hexagone, du côté de Bilbao par exemple. C’est finalement en Haute-Garonne qu’il a décidé de poser ses valises pour les trois prochaines années, un club qu’il connaît bien pour en avoir été le responsable du centre de formation de 1984 à 1991, année durant lesquelles il a formé des joueurs tels Laurent Batlles, Fabien Barthez ou encore Vincent Candela. «Dans mon cœur, la proximité avec mes origines est importante mais par rapport aux autres propositions qui m'ont été faîtes, ce sont les projets du club et l'avenir qui m'ont le plus conquis: ici c'est un président, un projet…», a ainsi expliqué le natif de Saint-Gaudens.

    L’Europe en vue…
    Un projet, le mot est lâché. Parti de Saint-Etienne déçu par sa direction et frustré de ne pas obtenir les pleins pouvoirs sportifs, Baup sait qu’à Toulouse, il ne risque pas de rencontrer les mêmes problèmes. Après l’ère Mombaerts, qui a redressé le club de main de maître depuis sa liquidation, place désormais à la consolidation. Le TFC entre dans un nouveau cycle, comme l'a précisé le président Sadran : «Depuis 5 ans, on travaille sur le plan sportif avec Erick Mombaerts et nous avons pu établir des bases solides. Aujourd’hui, on construit quelque chose de différent, pour avancer toujours dans le respect de l’esprit du club. Elie Baup a l’avantage d’être originaire de la région, il a une expérience de la coupe d’Europe, la connaissance du championnat, c’est l’homme qui peut tirer la quintessence mentale du jeu et de l’équipe et franchir un nouveau palier, atteindre le milieu de tableau, en plus ou en moins, mais ça, ce sont les aléas du sport.» Europe, voilà le vrai objectif de Toulouse. Le souhait du président était officieusement pour cette saison, après un cru 2004-2005 prometteur et un recrutement ambitieux. Mais comme le précise l’homme d’affaires, les aléas du sport en ont décidé autrement avec une 16e place relativement décevante.

    Formateur devant l’éternel, l’ancien gardien de but de l’US Toulouse va pouvoir s’appuyer sur une nouvelle génération de «Pitchouns» tout aussi appréciée que la première. Avec le jeune Bonnet en tête, Toulouse rêve de se bagarrer dès la saison prochaine pour le haut du classement. D’autant que la politique de recrutement du président Sadran pourrait une nouvelle fois servir les rêves les plus fous des supporters. Fabien Barthez, désormais libre de tout engagement, a également annoncé vouloir se rapprocher de sa région natale. Et quand l’on sait les liens quasi fraternels qui unissent Baup et le gardien de l’équipe de France, cela pourrait vite se transformer en union. «Le TFC m'a toujours porté chance. Lors de ma première année au club, j'entraînais les cadets nationaux qui ont gagné le championnat national…», annonce Baup. Tout un programme…


    Dominque Bijotat fait ses valises un peu plus tôt que prévu  (Panoramic)

    Bijotat passe à la trappe

    L’entraîneur du FC Sochaux, Dominique Bijotat, a été remercié ce mardi par le président du club, Jean-Claude Plessis. Le technicien paye une saison très décevante en Ligue 1. Mais pouvait-il en être autrement aux commandes d'une équipe qui n'a cessé d'être pillée au fil des saisons ?


    La lessiveuse du marché des transferts a déjà commencé à faire des dégâts dans les rangs des clubs professionnels. Et c’est assez fort logiquement qu’elle a débuté son ménage par les entraîneurs des clubs mal classés, premières victimes à payer les pots cassés des mauvais résultats. Après les relégués Strasbourg et Metz qui ont remplacé Jacky Duguépéroux et Joël Muller, c’est au tour de Sochaux, moribond cette saison parmi l’élite, de couper des têtes. Arrivé dans le Doubs il y a un an en remplacement de Guy Lacombe, Dominique Bijotat a été remercié par ses dirigeants ce mardi. «Le FC Sochaux-Montbéliard a mis un terme ce jour, 16 mai 2006, aux fonctions de M. Dominique Bijotat, qui est de fait libre de tout engagement envers le club», indique simplement un communiqué de la formation doubiste.

    Bijotat remplace Lacombe
    Le coup est dur pour l’ancien international tricolore, encore sous contrat avec les Lionceaux jusqu’en juin 2007, et dont l’objectif cette saison était de se maintenir en Ligue 1. La mission avait été menée à bien par l’ancien entraîneur d’Ajaccio, à l’issue d’un championnat plutôt mouvementé. Durant l'exercice, le FC Sochaux n’a jamais fait mieux qu’une treizième place, après trois journées. Pire, les pensionnaires du Stade Bonal ont flirté avec la relégation pendant de longs mois en restant englués dans les bas-fonds de l'élite avant de s'assurer le maintien en toute fin de championnat.

    Mais comment pouvait-il en être autrement pour un club qui n’a cessé de se vider de son contenu depuis plusieurs années en laissant partir ses joueurs les plus prometteurs (Sylvain Monsoreau à Lyon et Jérémy Mathieu à Toulouse), mais aussi les plus expérimentés (Oruma à Marseille et Santos à Toulouse) ? La direction du club n’a jamais compensé les départs qui avaient d'ailleurs ulcéré les supporters en débuts de saison. Les frondeurs, déjà fatigués de voir partir les Frau, Pedretti et autres Pagis les étés précédents, avaient demandé des comptes au président Jean-Claude Plessis. Ce dernier avait finalement desserré les cordons de la bourse, tardivement, en recrutant Mourhad Meghni mais aussi Moumouni Dagano. Mais ni celui qu’on avait présenté comme le nouveau Zidane, venu de Bologne, ni le buteur de la Ligue 2, n’ont évolué à leur niveau cette saison.

    Un mercato à oublier
    Malgré l’ampleur du challenge, Dominique Bijotat, alors en charge de Clermont (National) depuis seulement un mois à l'époque, avait accepté l’offre du président sochalien les yeux fermés en résiliant son bail précipitamment. Le lendemain du limogeage de Guy Lacombe, longtemps poussé vers la sortie avant d’être licencié, Bijotat s’installait aux commandes de la jeune équipe. L’entraîneur a rapidement déchanté avec un des effectifs les plus justes de la Ligue 1. Sous la menace de la descente, le staff tentait bien quelques coups durant le mercato d’hiver avec les arrivées du jeune Camerounais Mézague, en provenance de Montpellier, du prometteur défenseur serbe Dusko Tosic, mais aussi de Weldon, l’attaquant brésilien pas plus efficace avec sa nouvelle équipe qu’avec ses précédents clubs, Cruzeiro, Ponte Preta ou Santos.

    Perrin en remplacement
    Pas vraiment renforcée, l’équipe parvenait tant bien que mal à se maintenir en Ligue 1 avec 44 points au compteur et une logique 15e place à la fin de la saison. Conspué par une partie du public, Dominique Bijotat, n’avait, en public tout au moins, jamais été désavoué par son président qui a finalement tranché dans le vif ce mardi. Pour remplacer le technicien, Alain Perrin est fortement pressenti. Le président du club doubiste a confirmé avoir rencontré le technicien le week-end dernier au micro de Canal+. Mais pour l’ancien entraîneur de Portsmouth et de l’Olympique de Marseille, la mission s’annonce là aussi très chaude. Ilan devrait faire ses valises et Souleymane Diawara, l’une des rares satisfactions de l’équipe cette année, est convoité par de nombreux clubs.





     

    Début | Page précédente | 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact sportsactus ]

    © VIP Blog - Signaler un abus